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MOTS AUX LECTEURS DE : LA VOIE DE L'ULTIME ESPOIR

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EN VOIE D’ÉDITION,

EXTRAITS DE LA FIN DU TOME 1 Étrange Découverte

Copyright France 2016

À tous mes lecteurs et lectrices, notamment à ceux qui, tout comme mes propres habitudes, dans ma jeunesse, n’ont pas lu ou ne lisent pas, anecdotes, commentaires et avant-propos d’un roman. À ceux qui le font parfois, après avoir pris connaissance de son contenu et de la résilience qui en découle et se demandent, au-delà de ma vie personnelle, ce qui a pu inspirer et motiver mon ambition d’auteure, voire cette fiction scientifique d’un nouveau genre et style, avec une exclusivité sur les inspirations des tomes suivants.

 

Cette histoire qui s’est construite sous la forme d’une autobiographie fictive futuriste est le fruit d’un certain réalisme existentiel et de mon imagination, à la suite d’un rêve d’adolescente et à un phénomène lumineux étrange et sourd auquel j’ai assisté, entre ma vingtième et vingt-cinquième années et pour lequel je n’ai jamais pu observer la source et découvrir la cause, jusqu’à aujourd’hui. Comme Molière ou Charles Baudelaire, j’ai des tendances épileptiques qui chez moi sont d’origine vasculaire, néanmoins, sans crises, depuis plus de trente ans. Peut-être proviendrait-il tout simplement d’un des symptômes de l’épilepsie. Ou peut-être relèverait-il d’un véritable mystère. La recherche et la science nous apporteront des réponses et des preuves indéniables un jour. Par contre, ce mal n’a aucun lien avec mon rêve qui avait démarré, avec une sortie banale, dans le centre-ville de Saint-Denis de l’île de la Réunion, où je fais une découverte étrange, sur un coin de trottoir de la rue Maréchal Leclerc, et s’est poursuivi par une arrestation de la police, pour suspicion de plusieurs délits d’incendies commis, dans certains commerces de cette capitale. Cette chose insolite, que je soupçonne être d’une origine extraterrestre s’avère effectivement l’auteure de ces actes, dans mon rêve. Cependant, la trame de ce roman qui s’en inspire s’est construite à partir de scénarios plus ou moins énigmatiques, nés d’un approfondissement de cette première idée romanesque, de mes diverses connaissances et recherches, en matière d’environnement et d’écosystème et de mes quelques expériences personnelles et spirituelles, de ma culture pluridisciplinaire et de ma personnalité d’éternelle étudiante et rêveuse. Cette histoire se déroule non pas « le jour après la fin du monde », mais après de gros cataclysmes successifs, destructeurs et mortels, des signes précurseurs d’une fin du monde qui n’aura pas lieu, avant des milliards d’années, selon les théories scientifiques de quelques experts et proches, selon d’autres. La seconde inspiration est apparue à la suite d’une lecture juvénile qui m’a profondément marqué. C’est l’œuvre magnifique de Monica HUGUES, « Au-delà de la rivière noire » qui a été accusée de sectaire. Mais la mienne s’avère d’un genre unique et d’une philosophie différente, plus ancrée dans le monde occidental actuel et riche en cultures régionales, nationales françaises, européennes et mondiales, et bien plus scientifiques, sans connotation incitative à caractère ou de source sectaire. Me cultiver est mon moteur, pour panser mes malheurs. Quelques paragraphes font même, directement ou subtilement, figure d’une résilience personnelle, dictée, selon certains extraits de mon œuvre, par mon subconscient ou par ma conscience. Dans l’inconscience comme dans la spontanéité, un travail de rétrospection a été fait, afin de comprendre ce qu’il en relève de mes inspirations, dont les nébuleuses de mes profonds souvenirs ont été, le coffre-fort fermé, durant de nombreuses années. La partie de l’avant-propos, certains passages du livre et celui qui relate les OGM à travers la fantasmagorie de la trame, dont l’influence résulte des émissions et magazines scientifiques, en sont témoins. La partie judiciaire est totalement fictive. L’idée m’est venue, lorsque je me suis rappelée, d’une sortie scolaire au collège, pour assister à une cour d’assises, dont le coupable était accusé de viol et d’un attentat dans un magasin, du côté de Montparnasse, que j’ai évité par chance, les premiers mois de mon arrivée, en région parisienne. Les premières lignes furent transcrites en 2004. Un an plus tard, le premier volume contenait les deux premiers tomes de cette saga, lesquels furent retravaillés en corrélation. Vint, à partir de 2006, le troisième qui s’est construit en totale relation, avec les premiers et le plan du quatrième qui sera un roman de transition, en plein travail de recherche et de rédaction, depuis le mois de mars 2011 et ralenti par mes problèmes de santé, la dure loi concurrentielle du secteur de la littérature et d’autres du domaine personnel. Rien n’est facile, mais qui n’essaie rien n’a rien.

Cette aventure se déroule, dans un contexte social et économique fictif, mais d’un réalisme dominant, développé en première partie. Partant de faits scientifiques réels au sujet du climat et des scénarios catastrophes sensiblement vraisemblables, pour quelques passages et totalement pour d’autres, cette conjoncture anticipée de la France et du monde permet de justifier de l’état du paysage urbain, campagnard et montagnard, et de celui des infrastructures, ainsi que celui de certaines situations critiques existentielles, dans les scénarios du roman. Le genre des rebondissantes aventures relève d’un mélange de différents genres comme la science-fiction, le policier, le musical, le fantastique, le merveilleux et le légendaire, notamment issu de Bretagne, de l’île de la Réunion et de l’Eure-et-Loir. Il affiche également une touche de devises régionales, une pointe de philosophie et une lueur d’amour romantique et passionnel.

Les trois volumes de la Voie de l’Ultime Espoir, dans la mesure où ils ont été écrits avec une certaine dépendance, même si chacun peut être lu de manière indépendante, s’avèrent une seule histoire. Ils sont agrémentés d’un glossaire, conçu pour la fiction et des traductions linguistiques diverses qui enrichissent ses dialogues, ainsi que d’une introduction qui raconte les évènements qui se sont déroulés, en amont des aventures et qui résume la fin du tome précédent, à partir du deuxième volume. Vous y trouverez des passages en anglais, allemand, SMS, verlan, langue préhistorique et extraterrestre, créole réunionnais, breton, latin, japonais, arabe commun et du Caire, espagnol et italien…

La Voie de l’Ultime Espoir se situe dans une période où des catastrophes naturelles, liées à des bouleversements climatiques, ont détérioré le paysage du monde et détruit le fondement de l’humanisme, lesquels se reconstruisent lentement. La cruauté humaine y est tellement extrême que les animaux ont développé des capacités de paroles, entendues par un nombre restreint d’individus, et la majorité des hommes sont rendus à un état de primitif extrême, voire en dessous de l’espèce la moins intelligente. La France est incriminée en grande partie et ne parvient pas à découvrir les véritables causes de sa déchéance. Il y en a plusieurs, certes, toutefois, une seule d’entre elles demeure la plus imputée et se fonde sur des mystères où la croisée des genres participe à la progression de l’énigme principale, dans laquelle la narratrice est un des trois personnages primordiaux et demeure directement au cœur de l’action. Son seul mot d’ordre repose sur sa quête de la vérité qui résoudrait cette affaire, dans sa globalité. Dans le tome I, le mystère prime et vu que vous l’avez découvert, ……(à découvrir dans le roman)

De quoi relèvent tous ces mystères et d’où viennent-ils ? Existent-ils réellement ou sont-ils le fruit de l’imagination ou des hallucinations de la narratrice ? Quel est donc son ultime espoir à travers ses multiples espérances, en quoi et sur quel plan sont-ils liés, et comment va-t-elle s’y prendre pour les combler ?

……À chaque ère ou période ses problèmes et ses solutions. Dans la nôtre, à titre personnel, je tente de les anticiper ou de les traverser, avec autant de recul que le contexte social me l’autorise. Sinon, je les assume, m’interroge et les réponses se situent bien plus souvent, dans la simplicité et sous son nez, que dans la complexité, les coûts exorbitants et à des années-lumière. Sans pour autant nier, qu’elle peut provenir d’ailleurs et que plusieurs circonstances exigent des moyens et de la distance, beaucoup de distance, aussi loin qu’elle pourrait être chiffrée, et d’autres exigent la fuite immédiate, vers une destination secrète. Telle qu’à Ailleursland, expression que j’ai adoptée, dans mon langage quotidien, lorsque je ne peux ni l’énumérer ni la situer, sur l’instant présent et qui est tout autre que le lieu issu de nos pensées ou désirs établis. Mais, des questions autour de nos choix demeurent toujours, car nous avons une marge de tolérance envers nous-même et un besoin naturelle de flexibilité ou dʼévolution. Nous avons le droit à lʼerreur dans la mesure où elle nʼest pas chronique. Nous devons donc la repérer et dénicher les causes, les sources et tous les facteurs qui y contribuent.

Depuis des siècles, le genre humain trouve matière à prendre, à juger, voire dénigrer, condamner hâtivement les autres, parfois même à en jouer dans le morbide et le macabre, à toutes les échelles de la société et davantage, lorsque l’on a des différences flagrantes de classes sociales, de handicaps visibles ou pas, ainsi que pour les couleurs de peau ou de sang, ou dʼorigine ethnique ou de culture, alors que nous tous avant tout humain, comme il en use en matière judiciaire, quand les preuves reposent sur peu d’éléments ou quand les lois ou articles des codes civils et pénaux se contredisent ou que les peines exemplaires sont prononcées, malgré les preuves et témoignages. La décadence humaine et l’obscurantisme trouvent de nombreuses portes ouvertes, à toutes les échelles sociales et économiques de la vie et gagnent abominablement du terrain, vers la déshumanisation. Pourtant, de nombreuses personnes, au-delà de toutes adversités, aussi difficiles qu’effrayantes, tentent de s’y frayer un chemin, vers la lumière. Sauf que certaine lumière est parfois plus dévastatrice que l’ombre qui la ternit, car à part d’en porter le nom et les apparences, ils n’en sont absolument pas, ou du moins, ils n’en sont que pour leurs communautés et convictions personnelles, sans savoir respecter les autres, par des ruses et des stratégies aussi immondes, que ceux-là mêmes qu’ils bannissent, d’où les haines et tensions qui y règnent, depuis la nuit des temps. Mais parfois, c’est à croire que l’on est d’origine extraterrestre, tellement notre lucidité est active, par rapport à une majorité d’aveugles qui vous démolissent derrière leur étiquette justifiant leur vulnérabilité et leur fragilité, parmi les valides et même les non valides, mais aussi parmi ceux qui jouent aux aveugles, également. Tous ceux qui sont handicapés, différents ou vulnérables par la maladie ou l’âge ne sont pas tous des saints ni des gens parfaits. Des personnalités perverses et dangereuses s’y cachent aussi. Et valide ou non valide, pour fuir leur responsabilité parfois immonde, ils en accusent ou en font des rumeurs envers ceux qui ne le sont pas, à partir de simples faits qui ressemblent ou s’apparentent à leur propre histoire de criminels en puissance. Le pervers n’a pas de rangs sociaux types ni de genres particuliers. C’est rude de porter les étiquettes de ceux qui refont votre vie, parce qu’eux-mêmes n’assument pas la leur ni leur défaut et manquement envers toute devise et éthique humaine républicaine ou spirituelle, et en conséquence envers soi-même, ainsi quʼenvers chaque individu qui y adhère, parce que l’utopie est un signe de mal-être ou un principe irréalisable, sans l’avoir tenté, ne serait-ce une fois, sur le plan individuel, collectif, national et en partie mondial, voire entièrement. Par contre, leur monde de pourris y va de bons trains et de bon augure, en silence et sous couvertures et soutiens communautaires. Le problème ne vient pas de ce qu’ils pensent ou disent, mais des conséquences qui en découlent et notre impossibilité et/ou incapacité de nous en défendre. Et lorsque la difficulté atteint son seuil maximum, avant la fatalité, on se réfugie dans un havre de paix, dans lequel, parfois, quelques-uns y font, envers et contre toute morale et éthique humaines, votre enfer à vie, dont ils se satisfont de s’en excuser par des pseudos soins réparateurs médicaux ou personnels. Certains effets de ses traitements sont plus nocifs que la maladie ou le pseudo trouble en lui-même. Parfois, quelques individus vous poussent vers des pseudos soins spirituels ou sectaires, dont la finalité est de vous détruire vis-à-vis de la société et des préjugés destructeurs, dont celles-ci se nourrissent, pour gravir l’échelle de la société. Du moins pour peu d’entre eux qui envers et contre tout y croiront toujours et encore jusqu’à ce que la mort s’ensuive, sans en obtenir un bienfait ou à peine une poignée de moules ou de belles illusions, à l’instar des traites de la Seconde Guerre mondiale et comme de parfaits soldats conditionnés à tuer, sous silence et à petit feu, dans l’indifférence mondiale, voire universelle. À l’instar du p’tit loup de cette histoire, nous devenons des cobayes humains vivants d’expérimentations, pour des faits qui existent depuis la nuit des temps et dont les leçons ont été tirées depuis bien longtemps, mais jamais appliquées, car le culte de l’obscurantisme remporte bien trop de victoire. L’ignorance, l’indifférence et l’égoïsme sont portés en triomphe sur des autels de gloire, d’une minorité qui parvient à semer la terreur et la misère, dont l’assistanat est leur salue, par le biais des associations et des cultes religieux qui ne mènent pas large, avec les conséquences d’une guerre des religions, laquelle se perpétue depuis des siècles, sans connaître vraiment qui a commencé, mais dont le but est l’universalité d’une théorie spirituelle. Octave Mirbeau a dit : « on ne soulage pas le peuple par des aumônes distribuées de temps en temps, et la charité, si ingénieuse et dévouée soit-elle, est impuissante contre la misère publique. » À moins d’aimer vivre dans l’assistance, un secours social se doit d’être ponctuel et la cause qui y a conduit être réglée rapidement et définitivement. Cependant, la valeur travail est assassinée d’année en année, par la croissance de la désindustrialisation et des dépôts de bilan, et l’assistanat mis sur un piédestal, par une généralisation d’une forme terrible de solidarité-gangrène, dont les conséquences accroissent le chômage. Je fonde l’espoir qu’à la longue, que l’on ne finisse pas par afficher un mot de plus, à notre belle devise française, même si quelque part, il y demeure bien et même en tête d’affiche de bien de slogans, dont la gratuité est le mot d’ordre, les pseudos ressources d’insertion la fierté et les faibles ressources le dindon de la farce. Liberté, Égalité, Fraternité, Assistanat.

…………La compassion sauvera le monde. Mais la compassion est néfaste par rapport à l’empathie. Qui l’ignore encore ? Elle entretient la souffrance de la victime, à travers la pitié qui est ressentie et exprimée, parfois de façon hystérique et excessive. Alors, lorsque l’on est confronté à ses méfaits, notre choix s’oriente souvent vers la solitude, ainsi un besoin d’aller vers et de choisir l’essentiel, tout en éliminant tout le reste, prend forme. Mais, là aussi, la méfiance est de rigueur, car dans cette solitude, d’autres y voient de grandes souffrances, même si elles n’existent pas et parfois, leur croyance débouche sur des faits et des actes qui justement la créent et justifie en conséquence leur diagnostic anticipé. Dans mon cas, durant ces 17 dernières années, la source provient du fait que l’on a voulu me pousser à l’extrême du supportable et ça continue, afin que je finisse par refaire des crises d’épilepsie et être reconnue handicapée, car la fibromyalgie n’est pas reconnue, du moins, il semblerait qu’il le soit selon un certain critère de mérite ou en fonction des médecins ou des régions ou des diagnostics psychiatriques. Mais ça, c’est quasiment de l’affabulation et là encore, c’est moi qui n’aie pas suivi le protocole de suivi pour être reconnue, c’est-à-dire passer son temps à courir, après des spécialistes qui s’en sont toujours tenues à vous dire que votre problème est psychosomatique, en quelques mots, c’est dans votre tête et pour finir par, on a perdu votre dossier. Ah, ok, sauf que ce n’est pas la première fois, mais la troisième, voire quatrième, si je compte les erreurs médicales. Dès lors où vous dérangerez, de victime vous deviendrez patient. Allez hop ! Hop ! Psychotropes ou internement qu’on n’en parle plus. Quels que soient les moyens pour y parvenir, comme si qu’on lisait les étiquettes que d’autres, pour fuir leurs actes manqués, ont placardées sur votre front, avec l’option interprétation qui convient à tout en chacun. Qui n’a pas agi en ce sens et n’en a pas rêvé, dans ma vie ? D’autant plus qu’une crise d’épilepsie peut détruire entièrement ses neurones et être mortelle, donc, certains examens et médicaments sont à proscrire. Heureusement, que j’ai découvert, bien avant cette issue fatale, que je n’étais pas la seule confrontée à ces discriminations perverses médicales, à travers des lectures des œuvres et articles de quelques spécialistes de la santé mentale, dotés d’un certain humanisme et de plusieurs témoignages de victimes. Psychotrope ! Non, très peu pour moi, merci. J’ai d’autant plus d’autres pathologies organiques que j’oublie, comme par hasard, à chaque fois et nul n’ignore que c’est une aubaine pour faire tomber des têtes, par des petits jeux de boules, dans le jeu de quilles de quelques-uns, n’est-ce pas ? Qu’y a-t-il de plus simple que de se servir des gens vulnérables pour y parvenir, surtout lorsque notre propre passé, particulièrement falsifié ou refait, peut nous desservir, par la même occasion ? C’est une des raisons pour lesquelles, certains praticiens refusent leur porte de cabinet, à une catégorie sociale, sur critère de catégorie de carte de sécurité sociale, alors qu’il suffirait d’interroger la personne, sur son parcours médical et d’en obtenir les dossiers du secteur géographique d’où elle vient, pour pouvoir exercer sa fonction, avec prudence, professionnalisme et dans le respect du serment d’Hippocrate. Mais encore faut-il que vos dossiers nʼaient pas été lʼobjet de disparition, pour étouffer de sombres affaires, en plus du vôtre. Soyez prudent et prudente, lorsque vous serez en quête de votre havre de paix, parce que parfois, il s’y cache un ou des jeux morbides et macabres existentiels. Ce qui n’est pas non plus une simple sinécure, car certains individus ne s’annoncent pas vaincus facilement, dans leur stratégie de conditionnement ou de déstabilisation. Il en va de la gratuité, pour quelques-uns, à des sommes exorbitantes, pour d’autres, dans le non-sectaire comme dans le sectaire. Par contre, la proportion de dangerosité ne suit aucun critère financier type, mais parfois social et spirituel. Bien que cette fiction s’inspire en partie de ma propre expérience que j’ai volontairement extrapolée vers l’imagination, à des fins rocambolesques et énigmatiques, il est question aussi d’un petit hommage à mon frère défunt, victime de la société et de ses faiblesses, ainsi qu’à mon père, ancien combattant de 39/45 et Indochine, également abattu par le civil, là où la guerre n’a pas tué. Je tiens également à attribuer une plage d’honneur à Minette et à Myaco, une chatte handicapée visuelle et physique, et un chien rescapé de la violence de son maître, avec qui mon père avait négocié sa liberté. Ils m’ont aidé à passer au-dessus de bien de maux, durant mon enfance. Mon subconscient a été pendant longtemps, le gardien de la porte de bien de secrets, jusqu’à ce que certains m’aient poussé à l’ouvrir, à chaque moment crucial de mon existence, partagée entre la réussite moyenne ou totale, et une revanche sur la vie, ou l’abandon ou l’échec grandiose et au sommet d’un Titanic psychique, en version moderne. J’ai tenté la démarche classique d’obtenir des réponses à mes questions, mais les portes se sont fermées, certains individus sont décédés, d’autres disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus, avec la piste qui m’avait conduit à eux, et puis quelques-uns ont de beaux justificatifs, comme des archives incendiées de l’époque ou des querelles se mettent en place, autour de ce sujet, par un stratagème nommé téléphone chinois, dont je suis exclue de la chaîne… etc. Alors, après de brèves explications, refermons ce livre des horreurs, sans en perdre la clef. On ne sait jamais si plus tard, les mystères non résolus se lèveraient et les langues se délieraient, ou encore les réparations en dommages-intérêts apparaîtraient, parce que depuis des années se sont écoulées et d’autres portes cauchemardesques se sont ouvertes, pour me diminuer davantage. Il faut s’en occuper et d’autres sont en voie de se produire, par incitation à l’erreur, à la haine, à la division et par anticipation de la stupidité humaine, de tous ceux qui, tout le long de leur vie, n’assumeront ni leurs actes tordus ni leurs actes manqués, tout en vous mettant face aux vôtres bien moins conséquentes que les leurs, pour soi-même et les autres, mais cette fois amplifiés et non minimisés, si vous avez su garder la tête sur vos épaules et une conscience humaine, et spécialement après vous avoir manipulé ou poussé à les commettre, durant un moment d’égarement ou de vulnérabilité ou en vous induisant en erreur et en s’en trouvant des excuses légitimes ou en proférant des menaces, envers vous-même, votre famille, vos enfants, parce qu’en plus, ils se sentent victimes de vous avoir pourri votre existence… Mais aussi par tous ceux qui agissent par ambitions et manipulations destructrices, à tous les niveaux d’aspirations et d’activités, de toutes les échelles de la société, pour en plus vous culpabiliser et vous accuser de ne pas les assumer vous-même, ou encore de vous pousser suffisamment à bout, afin de créer des justificatifs à une situation inventée de toutes pièces au départ, mais qui, à la longue, s’apparentent à leur vérité ou finissent par apporter des preuves qui justifient un mensonge déguisé en vérité, à l’instar d’un pervers narcissique ou d’un psychopathe de la classe influente ou dirigeante. Parce que l’injustice et l’inégalité sembleraient ne plus exister, voire ne l’avoir jamais été, pour plus d’un individu, dès l’instant où quelques personnes le décident, l’affirment violemment ou sournoisement ou l’imposent, et instaurent subtilement de terribles sentiments d’autoculpabilité de la victime ou des stratégies menant à sa culpabilité, à l’égard de certains clichés et convictions destructeurs, à l’instar de la culpabilité, envers la victime de viol que j’ai été, malheureusement, à l’adolescence, celle qui a réveillé des faits antérieurs juvéniles aussi dramatiques, dont ma résilience naturelle ou/et manipulée a enfoui, dans mon subconscient. Les non-dits en sont entièrement en partie responsables. La honte doit changer de côté, dit-on, lorsque quiconque ne veut reconnaître leur responsabilité ou part de responsabilité et même lorsque la vie les fragilise suffisamment, à leur tour, parce que la vie tourne comme une roue et que la leur risque, de ce fait, d’être mise en péril, tout en étant consciente de la juste mesure des torts à attribuer, à chacun des incriminés, d’une situation quelconque. Mais il me semble qu’il faut d’abord réfléchir et faire la part des choses, entre ceux qui sont directement incriminés et ceux qui agissent en second plan, consciemment et inconsciemment. Lorsque l’on a du cœur, pour tout individu de notre clan familial et amical, en amont d’un fait aussi atroce qu’il soit, on choisit d’aborder le sujet en conséquence, c’est-à-dire à la manière que l’on aura choisie, pour les préserver de s’autodétruire, mais sans omettre de s’en protéger et de se satisfaire, avant tout. Pour y parvenir, il faut longuement réfléchir et si les choses ne se déroulent pas, comme on le souhaite, au-delà de nos efforts, la culpabilité n’a pas lieu de s’y installer, surtout la nôtre. La mort ou le suicide d’un être directement ou indirectement incriminé, en second plan d’une situation dramatique quelconque, ne nous rendra pas plus heureux ou heureuses, lorsque l’on découvre l’ensemble des facteurs et des acteurs qui y ont contribué et notamment leurs raisons minables. La nôtre encore moins, car la vie continue, malgré nos difficultés. La solitude devient souvent un refuge parce ce que la société contribue à ce que les mêmes modèles ou schémas dramatiques, tels que les querelles, les divisions, lʼimpossibilité de sʼen sortir ou de se relever dʼune situation difficile, dont le secteur santé, en majorité, vous accuse dʼen être le seul responsable, sans tenir compte du contexte social et financier, ou en se référant à des influences externes mensongères.

Bien trop souvent, l’abandon de toute résolution est notre seule option. Il semblerait que ce soit une victoire, qu’importe pour qui. Le monde est ainsi fait, certains individus se construisent sur la démolition d’autrui. À mon avis, dans certains cas de récidives, la peine de mort ne serait pas de trop, si la justice est de mise. En dehors du cadre de ce qui a pu être défendu ou défendu et non prouvé, au lieu de faire de la vie des victimes un enfer, ce sont les coupables qui doivent porter le fardeau des conséquences de leurs actes. Pourquoi est-ce trop souvent le contraire qui se produit ? Réfléchissez-y et vous trouverez la réponse, des indices se trouvent dans ce premier tome. Comme dans mon cas, ce sont les acteurs médicaux impliqués dans mes faits juvéniles qui auraient dû prendre en charge, leur responsabilité, même si mon père y travaillait et quoi qu’il est pu se passer, car mes souvenirs sont vagues à ce sujet, il est décédé, épuisé par la guerre et sa propre vie, et ma mère n’en a encore moins que moi. Mais là encore la culpabilité parentale fait figure d’excuses. Qui ignore encore que très peu de gens sont en mesure de gérer, ce genre de faits seuls, à l’instar, d’un pompier, d’un agent des forces de l’ordre, d’un chirurgien, pour lesquels, il est préconisé de faire intervenir un confrère, parce qu’un point de vue émotionnel, c’est une situation ingérable, à part pour la stupidité humaine et les idiocrates ? Depuis peu, via ma démarche de vouloir en savoir plus, au moins sur ma santé de l’époque, là aussi, les archives ont brûlé. En 47 ans de vie, mon parcours médical est jonché de fautes professionnelles, avec des dossiers qui disparaissent, des incidents à chaque fois minimisés, de l’autoculpabilité que l’on me renvoie. Et surtout, il ne faut rien dire et parallèlement, on serait une famille atteinte tous plus ou moins d’un trouble psychique ou psychiatrique (en mettant bien évidemment en vedette, ceux et celles qui appuient la thèse et les autres, au sommet de leur réussite, disparaissent de votre vie). Et pour clore le tout, c’est moi qui aurais, semble-t-il, refusé de suivre le protocole médical. La preuve, je n’ai pas suivi l’injonction du tribunal, lors du placement de ma fille en famille d’accueil, de me faire expertiser, à 100 kilomètres de chez moi, sans tenir compte de mon épilepsie ni de ma fibromyalgie, et de ma précarité financière, entretenus dans le déni, pendant que je tentais de finaliser mes œuvres, donc de m’en sortir… les éléments destructeurs se construisent, se suivent et s’enchaînent, vers mon auto-destruction. Et ce même si pour y parvenir, l’on met sur un piédestal, les manipulateurs destructeurs ou tous autres pourris qui y ont contribué. Voilà, comment on fait de la vie d’autrui un enfer, tout en se servant d’une famille dite entière, pour satisfaire les croyances spirituelles et la classe des gens dits parfaits, les plus radicalisés, voire tyranniques, voire également d’un gouvernement et d’un système entier de despotes, à partir de faits non reconnus dès le départ, minimisés ou niés et de mensonges déguisés… Et je n’ai pas tout dit de pire, dans ma vie ou celle de mon frère et autres membres proches… et avant tout de mon père, fier de ses valeurs républicaines d’ancien combattant, mais victime aussi d’une société de racistes et de détraqués, qui vous poussent vers des choix existentiels, afin dʼy instaurer un jeu de persécutions ou de harcèlements émotionnelles, dont les véritables raisons ne sont pas très nobles, ni correct sur le plan spirituel, ni humaines, mais souvent bénéfiques à la cause religieuse, en matière de leçons du tout puissant, à toutes les échelles de la société… bref, de quoi finir effectivement en psychiatrie ou de faire lʼobjet de petits jeux dʼenfermement. Et à charge de revanche, pour ceux qui se reconnaîtront et qui pensent pouvoir utiliser mes écrits contre ma fille, victime de harcèlement d’un petit jeu de pervers d’adolescents et d’adultes, mal dans leur peau et victime de leur propre croyance religieuse, voire culte républicain et culte de la stupidité humaine, mais comme d’habitude, en rejetant leur responsabilité sur the souffre-douleur choisi, ma fille qui est au courant de ma vie, depuis ses 15 ans, trois ans après le bordel que vous avez instauré dans sa vie et la mienne par la même occasion, même si je reconnais sa part de responsabilité et la mienne, mais les vôtres, je doute que vous en soyez conscients actuellement, Juda en est votre culte fétiche, à travers vos actes cruels de traîtrise, de lâcheté et de ruses perverses, au nom de la prospérité du monde, mais principalement pour la vôtre et pour les autres, celui du « je m’en foutisme ou chacun pour sa gueule », après avoir collectivement détruit la personne. D’ailleurs, quiconque n’a été informé de ma vie, avant d’avoir été confronté à toutes ses conséquences d’idiocrates, aidés et encouragés par la sphère d’où ils découlent. Une vie dont j’ai découvert d’autres facettes dissimulées, à mon insu, au cours de lʼannée 2015. Mais surtout, ce qui fait votre force, c’est la manipulation des ignorants et des simples d’esprit, la position sociale de vos parents ou de vos proches, etc. Vos apparences angéliques ne m’ont jamais trompé. Sachez-le, j’ai su lire dans vos petits jeux, même si j’ai été impuissante face aux conséquences… bonne chance et bon courage, dans une vie calquée sur le modèle de la perversion narcissique. Vous n’êtes pas bien loin du culte suivant, celui des adorateurs des crimes sexuels entretenus dans le déni. Ce n’est pas tout d’avoir votre fétiche emblématique et témoin de votre bonté et générosité du cœur, à travers une personne que vous avez aidée à s’en relever d’un drame, pendant que vous enfoncez d’autres parallèlement, dans une situation similaire ou pire, car votre âme, votre conscience et votre costume n’en seront dorés qu’en apparence. Tôt ou tard, vous en serez rongé de tourmentes et de remords. Toutes philosophies spirituelles ou pas et expériences de vie se rejoignent pour le confirmer. Et quant à ceux qui ont été ou sont dans un stratagème de se servir de quiconque, même vous-même, comme boule dans votre propre jeu de quilles ou celui d’un autre, sachez que si c’est moi qui ai été cette boule, dans les vôtres pour détruire autrui, j’estime que l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même. Donc si je mʼen aperçois, je ne me rabaisse pas à votre niveau. Assumez vos choix, vos désirs ou ambitions et vos actes par vous-même… L’on dit que jouir de la richesse ou la réussite engendrée par la corruption, le proxénétisme, la drogue… est sale, mais il semblerait que celle de la perversion narcissique ou la manipulation destructrice ou jeu morbide et/ou macabre soit propre. C’est à croire que détruire est une valeur positive dans notre société, du moment qu’il est subtil. Sachez que tout empire ou pyramide bâtis sur un amas de pourritures même recouvertes d’or et de diamant s’effondre tôt ou tard. Alors, bon règne et gloire, mais pensez à en assumer les revers, vous-même, le pardon n’existe pas dans mon dictionnaire et je m’en porte, très bien, sans mal-être ni projet de m’en passer… Ma conclusion de tout ce travail de recherche et de compréhension des faits dramatiques de ma vie et de moi-même m’a permis de réaliser un point commun issu de l’humanité perverse et sombre, c’est qu’ils se font toujours passer pour des victimes, à notre insu ou de façons connues, pour ne pas assumer leurs propres caractères et actes qui en découlent et principalement pour en éviter les conséquences, si leur stratégie fonctionne correctement ou savoir que, d’une manière comme d’une autre, leur victime subira également des retombées de leur propre sentence, grâce à tous ceux qu’ils auront convaincus de leur bonne foi ou du bien-fondé d’agir de la sorte. L’ironie du sort est que ces malheureuses pseudos victimes sont issues de toutes les échelles de la société, même en dehors du cadre de la perversion narcissique, comme un phénomène de mode. Et ce sont les jeunes et les adolescents qui en font les frais, les plus désastreux, mais les parents qui en sont responsables ou du moins, pas pour les rares exceptions que l’on choisit à passer outre ses jugements destructeurs. Les arguments ne manquent pas lorsqu’il s’agit de détruire et les stratégies de toujours savoir rebondir sur l’une ou l’autre. Et s’ils en viennent à manquer, rien de plus facile que d’en créer, après avoir réduit la victime à n’être plus qu’une épave humaine.

En tant que victimes réelles, deux choix s’offrent à nous se battre ou lâcher-prise. En tant que victime atteinte de pathologies incurables et surtout non reconnues, le lâcher-prise est la meilleure solution, lorsque les conséquences peuvent se traduire par une dégradation totale de ses problèmes, voire la mort. Un plan facile et convoité par le pervers narcissique, car il n’a que peu recours à la violence physique et bien plus psychologique, pour aboutir au même souhait. Pourtant, malgré ce choix d’abandon, on réalise très vite que l’on est au milieu d’un combat, malgré soi, que l’on est parlé ou pas de notre vie. Donc, on choisit la forme de combat qui nous convient et vivre caché pour se protéger du monde n’est qu’un leurre. Parler ou écrire ou témoigner permet de s’en libérer et d’être en paix avec soi-même. Mais d’autres personnes préfèrent lâcher-prise par choix personnel, non pas par acceptation, mais par refus de céder à la colère, la haine, la rancœur et la vengeance. Il faut dire que c’est un jeu inéquitable auquel on s’affronte, d’où la notion de pervers qu’il porte et dans laquelle plus d’une victime y laisse sa santé et sa vie, dans l’indifférence quasi globale du reste du monde. Bien sûr, certains crieront que c’est faux, qu’il existe soutien et aide. Mais c’est lorsque l’on y est confronté que l’on s’aperçoit de la notion de soutien et d’aide à laquelle la société s’y réfère. Ils sont totalement inadaptés à plus d’un cas. D’ailleurs, certains profitent même de cette opportunité pour y régler leur compte ou gagner des intérêts et, finalement, jouer en faveur du pervers narcissique, tout en lui faisant endosser leurs actions destructrices. Tout est ramené au pervers qui concerne la victime, par la société qui les entretient dans une relation à la Bonnie and Clyde, afin de nourrir l’étincelle de haine qui y prend source, ou la flamme de violence déjà bien ardente, jusqu’à la forme la plus violente de relation, dans un couple ou entre deux individus. Toutes les œuvres autour de la perversion narcissique s’accordent à dire que l’on ne peut remporter aucune victoire contre un pervers narcissique et quoi que l’on fasse, on a toujours tort pour celui-ci. Et au beau milieu de tout ça, il faudrait en plus pardonner, soi-disant pour trouver la paix intérieure. Y croyez-vous ? Pas moi. Ce qui ne les empêche pas de réparer leurs erreurs. Le font-ils ? … À lʼunanimité, quasiment que non, si ce nʼest que pour prouver que leur victime souffre dʼun gros problème psychique ou affabule sur leur compte… Pardonner ! Pour moi, cʼest non. Essayez si cela vous tente, je l’ai fait, à maintes reprises, comme tout le monde. Pardonner ouvre bien plus souvent les portes de la récidive de son bourreau, mais particulièrement, de quiconque s’y réfère, qu’il ne conduise à la haine ou à la rancœur ou à la vengeance, si l’on tente d’analyser et de comprendre la situation et la tourner à son intérêt d’être humain. La haine n’est pas si nocive, s’il permet de ne pas adhérer à des principes que l’on déteste, parce que l’on en a souffert et de ne pas oublier le mal que l’on nous a fait, afin de l’éviter, lors d’une situation similaire, mais spécialement d’éviter de le reproduire, si l’on place sa fierté d’être humain, tel que l’éthique humaniste le conçoit, au-dessus de tout. C’est la rancœur, la vengeance et la violence qui sont à éviter. D’où l’intérêt de s’instruire et de philosopher pour survivre et faire face aux relations ou situations toxiques que l’on ne peut pas éviter ou fuir, comme il est préconisé, sans omettre que fuir n’est pas toujours la solution, car tout ce que l’on fuit nous rattrape. Cette citation est connue, expérimentée et validée. Cependant, parfois je me demande si elle ne serait tout simplement pas anticipée, dans un petit jeu qui nous échappe. Mais en attendant, elle met bien en évidence la difficulté de sortir indemne et sans risque de conséquences qui s’enchaînent à vie, d’un jeu de pervers narcissique, surtout lorsque la personne se cache derrière leur statut de parent parfait et exemplaire, ou tout autre statut en côte populaire et appréciée, et lorsque les pervers narcissiques se font légions entre eux ou s’associent à d’autres légions de pervers ou de troubles psychiques avérés dangereux ou pas ou à des légions de délinquants en manque de repères, d’éducations et d’affections ou à des sphères supérieures que l’on ne soupçonnerait jamais, à notre insu ou sans que l’on puisse le prouver. Afin de ne pas sombrer dans le désespoir d’une voie sans issue, je préfère retenir que finalement, ils ne sont victimes que d’eux-mêmes et de leur stupidité, et aussi fort qu’ils puissent être, tôt ou tard, ils en payent les conséquences, à la hauteur du malheur qu’ils sèment, voire pire et là, leur citation culte est bien illustrée, c’est leur propre semence qu’il récolte quoi qu’en pensent leurs acolytes, dont la récolte est parfois abondante aussi. Certaines personnes prônent l’indifférence comme solution, mais celle-ci ne met pas à l’abri des ennuis que l’adversité vous sert sur un plateau, bien au contraire l’indifférence est vécue, comme une forme de provocation qui les rend plus actifs en matière de violence directe ou subtile. D’où la solution de l’acceptation qui consiste à concevoir toute accusation et tout titre dénigrant que le pervers narcissique et ses acolytes vous affligent, jusqu’à ce qu’ils s’épuisent en matière d’actions à détruire. Sauf que la société entière, trop souvent, dont le premier est votre pervers narcissique, vous prend aux mots. Alors commence le début de la fin ou la fin sans passer par un début, dont les dérives sexuelles en sont de belles démonstrations et même lorsque l’on n’y succombe pas, les conséquences des étiquettes que l’on vous attribue et que vous allez devoir porter à vie sont lourdes, même si vous êtes averties et prudentes. Mais il y a pire, comme le meurtre que la personne commet, avec ou sans preuve des faits de violence sur sa personne, notamment lorsqu’il s’agit de violence psychique… Bref, la vraie solution est l’autonomie financière et la distance, mais ça, il semblerait que je sois « Un Grand Danger » pour mes enfants, voire moi-même et pour la république et la nation, avec mon discours, mes conclusions et mes pensées. Quand j’ose faire un lien comparatif entre la méthode d’un pervers sexuel qui autoculpabilise sa victime et tous ses plans bien calculés d’un pervers narcissique et de sa grande complice La Société, il semblerait que je sois en Grande Souffrance. Bref, je ne suis pas la seule, à quelque chose prêt toutes les histoires se ressemblent, mais pas le compte en banque qui permet de prendre son envol, après avoir soigné ses ailes brisées et qui, de plus, étaient mal formées à la naissance. Il semblerait que c’est jouissif d’abuser des gens qui sont déjà au sol. Belle démonstration d’humanisme d’une société dite humaniste, n’est-ce pas ? La dérision est parfois salvatrice, en abuser peut blesser autrui. Tentons le juste équilibre de toutes ces méthodes, c’est toujours du temps de gagner, même si les exercices d’équilibriste sont périlleux. Que faire d’autre ? C’est risqué et inconscient, dira-t-on, mais en situation extrême toutes décisions présentent une part majoritaire de risques et d’inconscience.

Quoi qu’il en soit, dans les moments sombres, les instants les plus noirs, il faut rechercher la lumière, en restant prudent sur leur provenance. Le moindre point lumineux est une source d’étincelles d’espoir. « C’est du chaos que naissent les étoiles », alors il faut briller de mille ardeurs. La conscience et le subconscient sont étroitement liés. Nos pères philosophes l’ont transcrit et chaque jour, nous le testons, à travers nos actions et bien plus souvent nos écrits. Plusieurs personnes en sont conscientes, d’autres pas, d’autres le découvrent après les faits, l’importance est de savoir qu’il y a toujours une bonne part de nous-mêmes, dans nos créations, même pour les auteurs qui s’inspirent de la vie des autres ou de la vie en général. Le reste est guidé par les mouvements de l’air du temps. Les miens relèvent de lʼaninisme, en majeur partie, plus précisément celles des mulâtres youpines. Grande découverte 2015, lors de mon introspection et ma rétrospection, sans omettre lʼexperience de lʼabsence du hasard à travers mes périples et les preuves que nous sommes liés à lʼunivers, à la nature, au réel et à lʼinvisible. Bref, de très belles et bénéfiques découvertes.

La vie n’est pas toujours belle, mais nous nous devons de la vivre et de l’embellir, avec des instants de joie et de bonheur, aussi infimes qu’ils soient ou les rechercher, les provoquer, les créer, même si d’autres redoublent de vigilance et d’actions pour nous faire obstacle et nous décourager de nos moindres efforts. Mais surtout les retenir si nous y sommes parvenus, car les bons souvenirs aident à maintenir l’étincelle d’espoir, tant que celui-ci dépasse, par la suite, le stade d’une espérance à travers une solution concrète.

Sachez aussi que les animaux domestiques méritent le respect, l’amour et une éducation, et les animaux sauvages ont des chartes d’approche, à ne pas négliger, afin de les protéger et les respecter dans leur milieu, et pour assurer notre sécurité. Pour les animaux sauvages domestiqués, une marge de sécurité n’est pas négligeable, car leur instinct primitif peut ressurgir à tout moment et tout animal n’est pas à l’abri d’une pathologie psychiatrique ou psychologique. Les animaux tiennent une place importante dans cette histoire, car ils font partie de l’équilibre de notre écosystème et l’homme en a l’entière responsabilité. Mais au-delà de mon hommage à Myaco et Minette, il s’agit aussi d’une petite parenthèse, à une période de ma vie où l’on m’appelait la planète, avant la folle, (sous-entendue la lune), parce que mes absences épileptiques étaient interprétées, comme étant des rêves éveillés, donc comme étant sur la Lune ou d’une autre planète. J’étais souvent mise à l’écart ou l’objet de harcèlement scolaire et en dehors du cadre éducatif. Était-ce lié à du racisme ? Je l’ignore, mais le racisme verbal n’est finalement que des mots, des insultes directes ou indirectes à caractère raciste, le véritable racisme arbore une définition bien plus vaste et des actions plus sournoises et destructrices. Il prend des ampleurs de gravité qui parfois défie la chronique et il ne s’arrête pas à un ensemble de syllabes, mais se retrouve dans les pensées, les intentions, les actions et les interprétations, bien plus fourbes, cruelles et perfides, de ceux qui l’éprouvent, l’appliquent et le revendiquent ou pas, telles que toutes manipulations destructrices, quand elles ne sont pas directes et visibles, parce qu’aux finals, tous ces stratagèmes ne sont que le fruit de manipulation de masse de quelques-uns. Notamment, ceux qui répandent et ceux qui acceptent la notion d’obscurantisme, dont l’indifférence et l’individualisme en font partie. Ce racisme-là n’est quasiment pas prouvable, donc pas condamnable. Comme la cruauté envers le p’tit loup de la fiction, sur lequel on se livre à des tortures atroces, à l’abri de tous les regards et en toute impunité, parce qu’il est différent et pas humain, voire peut-être issu de la manipulation génétique ou d’origine extraterrestre, mais pas pour sa mère de substitution. L’affection instinctive et intuitive qui les lie est celle que le genre humain vient à manquer, même pour ses semblables et ses proches, confrontés ou pas à des difficultés existentielles. A-t-elle raison ou tort ? Combien de personnes réussissent à accorder une confiance aveugle totale à quiconque de leur semblable ? Peu de gens et encore moins, lorsque l’on a été trahi, durant toute sa vie ou lorsque celle-ci a été refaite à titre d’intérêt personnel ou collectif. Ce qui est humainement normal et sain d’esprit, que la méfiance soit justifiée ou pas, envers quelqu’un ou une communauté ou à notre encontre, elle a juste à ne pas être ou devenir maladive. Entre nous, dans votre fiction et en exclusivité, si je vous disais peut-être bien que oui ou presque que oui, cette mère a tort d’avoir une confiance aveugle, que me demanderiez-vous ? Mais alors d’où vient-il, qui est-il réellement ? Mais peut-être bien que non ? Lol ! Cela peut paraître pervers, mais je ne vais pas en plus tout vous dire à part qu’il paraît que je serais la perverse et la manipulatrice, dans l’histoire de ma propre vie. Quand on a été à « bonne école », on prend des risques effectivement de le devenir, surtout si l’on a dû s’y déployer, pour contrecarrer les attaques de son ou ses adversaires ou pires, de son ou ses ex-compagnons manipulateurs destructeurs. Mais on ne change pas les profondeurs de l’âme d’un être, ni son cœur, en conséquence, ses valeurs humaines, intellectuelles et spirituelles. Si vous pensez les avoir perdues, totalement ou partiellement, et bien, plongez-y et ramenez-les un à un. Par contre, au-delà de ma santé physique et psychique, mon instruction et mes diverses connaissances sont mises à rude épreuve, d’où ma quête à alimenter mon défaut d’éternelle étudiante, mon besoin d’assouvir mon avidité. Mais en littérature, une conclusion est un art, une technique du suspense quelle que soit l’apparence que peut susciter sa tournure. Alors a-t-elle raison cette mère de substitution, dont l’amour maternel est une source d’intuition, lors des situations extrêmes de sa fabuleuse existence ? Si cela vous intéresse d’en découvrir les réponses, lisez la suite et découvrez-les. Je vous donne donc rendez-vous, dans les autres volumes où les genres et le style vous étonneront davantage, vers la progression de l’énigme finale. Suivez les facéties de La Voie De l’Ultime Espoir, aucune émotion, ni sensation et aucun secret ne pourront vous résister.

À bientôt, à travers mes aventures, vos commentaires sur le web d’où vous trouverez la page communautaire de mes romans, via Facebook ou mon profil auteur Twitter, mes blogs… ou à Ailleursland !

La vie est une source d’inspiration et les horreurs existentielles, même très affligeantes le sont tout autant, tellement la majorité la prend pour un jeu qui se fait de plus en plus destructeur. C’est mieux qu’un suicide. On peut faire quelque chose de beau, à partir de nos souffrances, injustices et difficultés, mais pas sans prendre conscience des limites de l’épouvantable, pour laquelle la société devrait apporter de réelles solutions humaines. Certains en arrivent même à filmer leur mort, dans la souffrance totale, c’est-à-dire à tout point de vue, ou à en sourire joyeusement, ou à se fixer des rendez-vous, pour se donner la mort. Comme d’autres prennent plaisir à créer des souffrances, des injustices et des difficultés aux autres et à eux-mêmes, parfois, sans en être conscient, ou trop souvent en ayant un excellent état de lucidité, à partir de ce qu’ils vivent ou de ce qui leur arrive ou hérite de plus beaux. C’est-à-dire, à partir de la santé, la prospérité, l’ambition, la position sociale, la belle famille dite exemplaire ou formidable (pourtant, celle-ci n’existe pas, car la perfection n’est pas de ce monde), à partir aussi de la passion, la sérénité, l’amitié et l’amour à l’infini… par le fruit de leurs labeurs ou de l’argent gagné facilement, de leur instruction ou de leur médiocrité ou maladresse, chez certains riches comme chez quelques pauvres, même si la misère détient le record mondial des taux des situations économiques de tous les pays. Et tout cela pour finir, malgré tout, par passer le seuil de l’horreur, dans le luxe comme dans la pauvreté. Cette croissance des monstruosités est issue d’un capitalisme intégriste intégral, pour lequel il faut apprendre à distinguer, les bonnes raisons qui la justifient aux mauvaises et des abus sous toutes ses formes qui en découlent. Pourquoi ? Parce qu’il y a dans toutes formes de choses un juste milieu que l’on appelle équilibre et que le chaos ou le néant se situe dans leurs extrêmes. Observer, écouter, lire, réfléchir et expérimenter me semblent être la voie de l’ultime compréhension qui débouche sur nos nobles et respectueuses convictions. Le danger serait alors les manipulations, les illusions individuelles et collectives, ainsi que la tyrannie et la dictature assumées et déguisées. Fondons l’espoir qu’un jour les ambitions se rejoignent, pour ne créer que du beau et que l’horreur finisse par appartenir au passé, car l’horreur ouvre les portes de la vulnérabilité qui elle-même ouvre les voies de ce qui pourrait être un enfer définitif ou celles de bien d’autres horreurs, bien plus dégradantes pour le genre humain. Ce qui touchera encore et, malheureusement, tous les milieux sociaux. Certaines personnes disent que la vulnérabilité constitue une force. Il y a du vrai dans ce qu’elles disent, dont la limite reste les moyens de s’en sortir ou le bras généreux tendu, dans une société de décadence où l’inégalité et l’injustice sévissent, bien au-delà des différents relationnels humains, politiques et juridiques, voire des lois que l’on crée pour y remédier. Car celles-ci s’orientent souvent vers une catégorie de classe sociale au détriment d’une autre qui parfois est entretenue, dans son déni existentiel chaotique et inhumain. Dans une fiction positive, on s’arrange pour que le dénouement se termine bien, selon le propre choix de l’auteur. Mais dans le quotidien, chaque réalité est à surveiller de près. Au commencement de l’ère du monde du vivant, si l’être humain avait daigné se considérer comme tel, avec une unique différence située dans sa morphologie, au lieu d’y instaurer un rapport inhumain de domination entre homme et femme, alors la violence n’existerait pas et peut-être même les dérives sexuelles immondes. Dominaris conscientia, dominaris corpus, dominaris mundi, dominaris caelum, dominari universae, dominantur, sed dominantur, semper dominantur° (le maître de la conscience, le maître du corps, le maître du monde, le maître du ciel, le maître de l’univers, dominer, encore dominer, toujours dominer). Croyez-vous que les gens vulnérables peuvent lutter contre ceux qui sont au sommet de ce jeu de domination ? À moins de fermer les yeux sur ceux qui en sont inconscients et ceux qui n’ont plus rien à perdre, non, c’est impossible, car si c’est possible, c’est que l’on se sert des plus faibles comme bouclier de la gloire de ceux qui les utilisent et ceux qui en bénéficient tranquillement, sans état dʼâme. C’est un choix qui appartient là aussi à chacun, dans un système qui refuse de changer. La femme fait l’objet de manipulations dans ce domaine et bien d’autres êtres dits faibles. C’est un être faible ou immonde qu’a jailli au commencement de la tête d’un fêlé et un danger concurrentiel, dans la course au pouvoir et au succès. Certaines personnes font le choix catégorique d’ignorer certaines classes sociales, pour éviter d’en être en proie et de subir une fatalité plus terrible… Bref, la division a démarré et pris ses marques, dès le commencement. Une légion en est née. Le premier gros conflit du monde a pris naissance juste à ce moment-là, il s’appelle le sexisme. C’est un crime contre l’humanité entière de l’avoir instauré et de le perpétuer par la création du système patriarcal qui ensuite s’est opposé au système matriarcal. Ce jeu d’opposition doit impérativement prendre fin. La morale, la sagesse, le respect, les valeurs humaines fondamentales peuvent exister, sans cette immonde et macabre conception sectaire du monde, à travers ses différents cultes basés sur la phallocratie, d’où le sexisme est né, et dont l’arme favorite est le viol et toutes autres pratiques inhumaines de soumission et d’humiliation dégradantes, même dans notre société dite moderne ou évoluée, à des fins d’obéissance, de soumission et d’appartenance à l’espèce dite faible. Celles-ci sont également reprises dans les guerres et conflits mondiaux, mais aussi dans trop de concurrences déloyales des courses à la réussite personnelle ou les règlements de comptes individuels, pour lesquels les raisons sont de plus en plus futiles et immatures. Sans oublier dans la bonne aventure de l’exploitation humaine à des fins de division des classes sociales et d’inégalité entre elles d’où le racisme y trouve matière à croître. Nous sommes avant d’être un homme ou une femme des êtres humains, avec nos forces et faiblesses. Ce qui fait mal à l’un fait mal à l’autre, à l’exception des psychopathes et sociopathes. Et ce n’est pas parce que l’on ne montre pas des signes extérieurs de souffrances que l’on n’est pas malheureux. Mais on ne veut pas y rester et développer une dépression, surtout suicidaire. D’ailleurs, ce sont deux notions différentes, même si le premier est impliqué, dans le second et même si on ne peut être heureux d’être malheureux, à moins d’être masochiste ou contraint de l’être pour la postérité et la prospérité de certains, issues d’une certaine idéologie chrétienne, judaïsme et islamique, dont le système gouvernemental s’en part. Mais ceux qui s’adonnent à des cultes de pourris s’en donnent à cœur joie aussi, d’autant plus qu’ils détiennent les responsables favorites, ceux qui en sont à la source. Parviendrons-nous un jour à vivre ensemble ? À mon avis, non, et je partage entièrement la philosophie dans le dialogue entre notre héroïne et Manou. Sachant que les pourris existent à toutes les échelles sociales, faites vos horreurs entre vous, bâtissez vos empires ailleurs, déserts, îles perdues et naissantes, et n’empiétez pas dans celui des autres, à la recherche de victimes, d’oies blanches ou d’individus réduits à la vulnérabilité. La question de la peine de mort fait peur, même pour les cas de récidive. Qui ignore qu’un prédateur ne peut devenir humain, que ce n’est pas un problème d’éducation sexuelle et d’éducation tout simplement ou qu’un pervers sexuel ne peut pas s’intégrer dans une société, que la castration chimique physique n’est pas une solution et celle du psychisme est une petite mort cérébrale ? Mais qui est prêt à tout changement radical ? Qui le mettra en pratique ?

En attendant que le changement s’opère véritablement, profondément, durablement et non par la magie des illusions, encouragées par de rares exceptions, je fonde l’espoir que ce premier tome vous ait plu et qu’il vous ait ouvert ou amplifié votre ouverture d’esprit, sur d’autres cultures et sur le devenir de l’humanité. Un devenir qui ne peut exclure, la solidarité, la prudence, nos différences culturelles et d’appartenances sexuelles, dans la limite de ses dérives, et les décisions écologistes réfléchies ou non réfléchies, lors de dangers imminents, voire des pratiques expérimentales testées à petite échelle, en dehors des situations d’urgence, pour lesquelles le temps demeure notre ultime espoir et la voie choisie, notre ultime secours. Telle est mon opinion personnelle que j’estime respectable et suffisamment claire, pour éviter les interprétations erronées et incitatives à la haine, mais plutôt à la réflexion.

Les rêves peuvent être révélateurs de notre for intérieur, peuvent être révélateurs d’un message venu d’ailleurs… Bref, les rêves peuvent revêtir un sens particulier. Mais tous les rêves n’ont pas forcément une signification révélatrice du passé ou du futur, car un rêve est aussi une échappatoire aux difficultés du quotidien ou un véritable moment de plaisir ou une extrapolation de ses désirs présents ou du passé. Certaines personnes parviennent même à faire des rêves lucides ou des rêves auto-suggestifs, avant leur coucher et d’en avoir en partie le contrôle.

Pouvoir interpréter ses rêves révélateurs d’un passé enfoui, dans les nébuleuses de notre conscience, est souvent une affaire de professionnels, parfois certaines personnes y parviennent seules, parce que l’un dans l’autre, un rêve significatif d’un fait de sa propre vie en est relatif, ainsi que de sa propre culture. Le temps et les souvenirs en sont les vecteurs de réussite. Y parvenir est le summum d’un sentiment de libération et d’une légèreté à fleur de peau. C’est la suite qui peut revêtir un caractère obscur et pénible, notamment lorsque des drames oubliés en font l’objet.

Néanmoins, tous les rêves peuvent ouvrir les portes de l’imagination.

L’imagination est un bien-être situé à la frontière de tout rêve.

Les rêves significatifs conduisent souvent vers le réalisme.

Quand le réalisme fusionne avec l’imagination, les émotions se libèrent et les sensations comblent les plaisirs d’écrire et de lire, par ambition et libération inconsciente, avant l’interprétation de son rêve, mais consciente, après un travail de rétrospection de son œuvre.

Mais quand la réalité rattrape l’imaginaire ou que les rêves révèlent un sombre futur, l’intuition se révèle nécessaire, pour anticiper certains drames ou certaines conjonctures dramatiques de notre ère, contre lesquelles des solutions adéquates existent depuis naguère et d’autres futuristes. Et pour avoir de l’intuition, il faut être en paix avec soi-même et le monde, être à l’écoute de son âme, de sa conscience jusqu’à atteindre son subconscient, de son cœur, de son corps, de sa nature, de la nature des autres vivants, de notre écosystème, de l’espace et de l’univers, sans se laisser prendre aux pièges des dérives sectaires ni ceux du conditionnement global du chaos, d’où qu’il provienne. Être progressiste, avec une belle notion d’humanisme et une bonne dose de citoyenneté écologiste, n’est pas impossible, dans sa vision du monde et lors de ses propres activités et actes, lorsque la santé et les moyens y répondent. Lorsqu’ils sont absents ou entretenus dans le déni, c’est bien plus difficile, voire quasiment impossible, mais également quand sa propre histoire et son existence le sont aussi.

Bonne chance, bon courage ! Mes amitiés et à vos rêves, sans y croiser messieurs Cauchemars qui créent des cauchemars d’origine existentielle et/ou médicale, s’il se révèle possible. Toutefois, de rêve en rêve ou de cauchemar en cauchemar, parfois le cauchemar se transforme en rêve et vice-versa. À l’instar, des réalités quotidiennes négatives qui revêtent des connotations positives, le cauchemar en est un en fonction de la façon, dont on le vit ou l’interprète et surtout en fonction de ce que l’on en fait. Mais comme tout excès, il peut s’avérer mortel. Et même s’il faut avoir connu le malheur ou la tristesse pour apprécier le bonheur, il n’en demeure pas moins qu’il est préférable d’atteindre ses ambitions, dans la tranquillité et la facilité, comme un vaisseau qui rentre à bon port par temps calme et mer plate, que par ouragan et tsunamis. Le bilan et les conséquences sont totalement différents et à moins d’être masochiste, la difficulté a ses limites, celles d’être des humains à part entiers, avant d’être des hommes ou des femmes, mêmes blindés, car derrière le blindage se cache un cœur, une conscience et des valeurs. Ce qui est totalement incomparable ou attribuable à tout trouble du comportement psychologique ou psychiatrique, quoi qu’en ait dit la science, qu’elle en dise ou qu’elle en dira en fonction de l’évolution de l’obscurantisme, du déni des droits de l’homme et de la stratégie issue d’un capitalisme intégriste intégral, avec ou sans voile, c’est-à-dire conscient ou inconscient, mais surtout mortel pour les plus vulnérables de toute classe sociale. C’est un trouble du comportement de notre système, un trouble gouvernemental, un trouble de la société, psychiatriques ou pas, je l’ignore, financiers, c’est certain. Le capitalisme est facteur de croissance, mais destructeur lorsqu’il arbore son aspect intégriste ou absolu ou radical et mortel lorsqu’il atteint l’intégralité de son intégrisme.

Certaines personnes me reprocheront sans aucun doute d’en avoir trop dit ou pas assez. Cependant, j’ai appris à mes dépens que même sans confier ses projets, l’humanité quand elle se décide à conspirer contre vous, elle le fera, mais parce qu’il y a toujours quelqu’un quelque part qui possède les qualités de savoir qui vous êtes et à quelque chose prêt ce qui vous est arrivé dans la vie, en plus de notre propre conscience qui nous le rappelle, il faut être fière de soi et garder espoir. Il y aura toujours quelque chose que vous ferez qui vous ramènera à votre passé et chemin faisant à votre présent et à ne pas avoir d’autres choix que d’en parler. La nature humaine est dotée d’une curiosité souvent déplacée, c’est celle-ci qui vous met la pression contraignante de vous dévoiler, si vous choisissez le silence et le voile, ou si vous en êtes contraints et même lorsque vous ignorez ce que l’on en attend de vous, dans les situations de drames oubliés. Et pourtant, elle est parfois suffisamment généreuse pour vous rapprocher de ceux qui vous ressemblent, afin de constituer un cercle empathique de défense et de soutien. Mais la solitude et l’empathie envers soi-même sont parfois plus efficaces, salvatrices et constructives. Elles sont, en quelque sorte, une voie de son ultime espoir ou son chemin du bonheur.

Vivre caché en pensant que nous en serons à l’abri est un leurre. Lorsque les secrets nous sont imposés, à notre insu, nous n’y pouvons rien. Mais lorsque nous le découvrons, nous nous devons d’en rechercher la part de vraie et de fictive, afin d’assumer les conséquences qui sont liées à notre vie réelle et non à celle qui a été falsifiée à des fins d’intérêt, d’une minorité au départ, qui se généralise rapidement. Des jeux abusifs de toutes formes y apparaissent, dont les clichés destructeurs et les actes qui en découlent et qui sévissent sur la base de phénoménaux mensonges, au sujet de notre propre histoire et celle de nos ancêtres. Mes propres expériences m’ont permis de mettre en évidence la théorie du hasard qui n’existe pas, par mon travail d’écriture, de rétrospection et d’introspection personnelles. Je l’ai vécu comme une délivrance, puis une renaissance, sans remettre mon compteur existentiel à l’an zéro de mon univers. J’en suis fière, mais ce qui répond à mon ultime espoir est d’en faire de belles histoires, à mi-chemin entre fiction et réalité, inconsciemment, pour mes quatre volumes de La Voie De L’ultime Espoir, mais avertie pour les romans et écrits qui suivront. Un jour vieillissant, je serais, sans doute, amenée à écrire ma biographie, après mes projets et si ma santé se rétablit. Alors, pour ceux qui voudront en savoir plus, suivez mon évolution ou contactez-moi, pour connaître sa sortie.

Je tiens à souligner que toutes mes pensées rédigées en fin de ce tome 1, à lʼexceptions de celles qui sont datées et celles qui font allusion à mon introspection et ma rétrospection, lʼont été, bien avant que je ne découvre, mes origines de mulâtre youpine et de leur enfer existentiel ancestral. Ce qui répond à une de mes questions, le racisme et lʼantisémitisme ont bien été présents dans mon passé, voire toujours dans mon présent, et facteurs de multiples obstacles plus difficiles à surmonter, voire inévitables, par des faits multiples dʼignorance, à mon insu. Ce roman mʼa finalement ouvert des portes sur de phénoménales découvertes, autour de et en moi, mais aussi un extraordinaire voyage dans mon subconscient et sa manière de refouler le passé laquelle lʼempêche de passer la frontière du conscient… et de négocier avec les héros principaux qui mènent à son but et qui se prénomment : Le Temps, La Volonté, Le Courage et La Fierté.

Cordialement Chris SAVIGNAN Auteure.