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Les Miscellanées de RoSaCe

@3960d / 3960d.tumblr.com

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Can you believe that? I had that shirt bespoken made one year ago and look how it fits now! Obviously I’ve been complaining to the tailor who told me fake explanations, about me having got bigger… I couldn’t believe he was so dishonest!! The guy is obviously making planned obsolescence - certainly a conspiracy organised with shirt fabric makers - but is totally unable to shoulder his responsibilities and prefers blame others

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Things are becoming interesting when you begin considering the sense of all that stuffs. Not “why” you do it but “for who”? Not for your colleagues that are unable to make a distinction between their awful “shirts” bought in discount mall and my totally stupendous shirts handmade in the backyard of secret Neapolitan workshops. Not more for women, for whom the latest sneakers designed by The Plookes will always be more valuable than my bespoke shoes handcrafted by the best Japanese shoemakers. Not even for me, as I can’t stand my outfit after 10 minutes wearing it for I only focus on its imperfections nobody will ever see. No, if I dress up, it’s only to satisfy a dozen of fellow instagramers i have never met but who are the reason why I lose my mind dressing up every morning. And each time I realise how vain it is, I feel so melancholic that only the buy of a new tie can make me feel better

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I swear I told you immediately when I broke your grandmother’s vase! I remember precisely, it was last week, you were vacuuming while changing Marcel’s diaper, and you told me exactly: « OK ». It was at this very moment when Garance was reciting to you her multiplication tables!

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Puisqu'Hugo est à la mode, je vous propose aujourd'hui de (re)découvrir cet extrait de la Légende des Siècles. Les quelques minutes que vous prendrez à le lire ne seront pas perdues!

AYMERILLOT

Charlemagne, empereur à la barbe fleurie, Revient d’Espagne ; il a le cœur triste, il s’écrie : « Roncevaux ! Roncevaux ! ô traître Ganelon ! » Car son neveu Roland est mort dans ce vallon Avec les douze pairs et toute son armée. Le laboureur des monts qui vit sous la ramée Est rentré chez lui, grave et calme, avec son chien ; Il a baisé sa femme au front, et dit : « C’est bien. »

Il a lavé sa trompe et son arc aux fontaines ; Et les os des héros blanchissent dans les plaines.

Le bon roi Charle est plein de douleur et d’ennui ; Son cheval syrien est triste comme lui. Il pleure ; l’empereur pleure de la souffrance D’avoir perdu ses preux, ses douze pairs de France, Ses meilleurs chevaliers qui n’étaient jamais las, Et son neveu Roland, et la bataille, hélas ! Et surtout de songer, lui, vainqueur des Espagnes, Qu’on fera des chansons dans toutes ces montagnes Sur ses guerriers tombés devant des paysans, Et qu’on en parlera plus de quatre cents ans !

Cependant, il chemine ; au bout de trois journées Il arrive au sommet des hautes Pyrénées. Là, dans l’espace immense il regarde en rêvant ; Et sur une montagne, au loin, et bien avant Dans les terres, il voit une ville très forte, Ceinte de murs avec deux tours à chaque porte. Elle offre à qui la voit ainsi dans le lointain Trente maîtresses tours avec des toits d’étain Et des mâchicoulis de forme sarrasine Encor tout ruisselants de poix et de résine. Au centre est un donjon si beau, qu’en vérité, On ne le peindrait pas dans tout un jour d’été. Ses créneaux sont scellés de plomb ; chaque embrasure Cache un archer dont l’œil toujours guette et mesure ;

Ses gargouilles font peur ; à son faîte vermeil Rayonne un diamant gros comme le soleil, Qu’on ne peut regarder fixement de trois lieues.

Sur la gauche est la mer aux grandes ondes bleues Qui, jusqu’à cette ville, apporte ses dromons.

Charle, en voyant ces tours, tressaille sur les monts.

« Mon sage conseiller, Naymes, duc de Bavière, Quelle est cette cité près de cette rivière ? Qui la tient la peut dire unique sous les cieux. Or, je suis triste, et c’est le cas d’être joyeux. Oui, dussé-je rester quatorze ans dans ces plaines, Ô gens de guerre, archers, compagnons, capitaines, Mes enfants ! mes lions ! saint Denis m’est témoin Que j’aurai cette ville avant d’aller plus loin ! »

Le vieux Naymes frissonne à ce qu’il vient d’entendre.

« Alors, achetez-la, car nul ne peut la prendre. Elle a pour se défendre, outre ses béarnais, Vingt mille turcs ayant chacun double harnais. Quant à nous, autrefois, c’est vrai, nous triomphâmes ; Mais, aujourd’hui, vos preux ne valent pas des femmes, Ils sont tous harassés et du gîte envieux, Et je suis le moins las, moi qui suis le plus vieux.

Sire, je parle franc et je ne farde guère. D’ailleurs, nous n’avons point de machines de guerre ; Les chevaux sont rendus, les gens rassasiés ; Je trouve qu’il est temps que vous vous reposiez, Et je dis qu’il faut être aussi fou que vous l’êtes Pour attaquer ces tours avec des arbalètes. »

L’empereur répondit au duc avec bonté : « Duc, tu ne m’as pas dit le nom de la cité ?

— On peut bien oublier quelque chose à mon âge. Mais, sire, ayez pitié de votre baronnage ; Nous voulons nos foyers, nos logis, nos amours. C’est ne jouir jamais que conquérir toujours. Nous venons d’attaquer bien des provinces, sire. Et nous en avons pris de quoi doubler l’empire. Ces assiégés riraient de vous du haut des tours. Ils ont, pour recevoir sûrement des secours Si quelque insensé vient heurter leurs citadelles, Trois souterrains creusés par les turcs infidèles, Et qui vont, le premier, dans le val de Bastan, Le second, à Bordeaux, le dernier, chez Satan. »

L’empereur, souriant, reprit d’un air tranquille : « Duc, tu ne m’as pas dit le nom de cette ville ?

— C’est Narbonne.

— Narbonne est belle, dit le roi, Et je l’aurai ; je n’ai jamais vu, sur ma foi, Ces belles filles-là sans leur rire au passage, Et me piquer un peu les doigts à leur corsage. »

Alors, voyant passer un comte de haut lieu, Et qu’on appelait Dreus de Montdidier : « Pardieu ! Comte, ce bon duc Nayme expire de vieillesse ! Mais vous, ami, prenez Narbonne, et je vous laisse Tout le pays d’ici jusques à Montpellier ; Car vous êtes le fils d’un gentil chevalier ; Votre oncle, que j’estime, était abbé de Chelles ; Vous même êtes vaillant ; donc, beau sire, aux échelles ! L’assaut !

— Sire empereur, répondit Montdidier, Je ne suis désormais bon qu’à congédier ; J’ai trop porté haubert, maillot, casque et salade ; J’ai besoin de mon lit, car je suis fort malade ; J’ai la fièvre ; un ulcère aux jambes m’est venu ; Et voilà plus d’un an que je n’ai couché nu. Gardez tout ce pays, car je n’en ai que faire. »

L’empereur ne montra ni trouble ni colère.

Il chercha du regard Hugo de Cotentin. Ce seigneur était brave et comte palatin.

« Hugues, dit-il, je suis aise de vous apprendre Que Narbonne est à vous ; vous n’avez qu’à la prendre. »

Hugo de Cotentin salua l’empereur.

« Sire, c’est un manant heureux qu’un laboureur ! Le drôle gratte un peu la terre brune ou rouge, Et, quand sa tâche est faite, il rentre dans son bouge. Moi, j’ai vaincu Tryphon, Thessalus, Gaïffer ; Par le chaud, par le froid, je suis vêtu de fer ; Au point du jour, j’entends le clairon pour antienne ; Je n’ai plus à ma selle une boucle qui tienne ; Voilà longtemps que j’ai pour unique destin De m’endormir fort tard pour m’éveiller matin, De recevoir des coups pour vous et pour les vôtres. Je suis très-fatigué. Donnez Narbonne à d’autres. »

Le roi laissa tomber sa tête sur son sein. Chacun songeait, poussant du coude son voisin. Pourtant Charle, appelant Richer de Normandie : « Vous êtes grand seigneur et de race hardie,

Duc ; ne voudrez-vous pas prendre Narbonne un peu ?

— Empereur, je suis duc par la grâce de Dieu. Ces aventures-là vont aux gens de fortune. Quand on a ma duché, roi Charle, on n’en veut qu’une. »

L’empereur se tourna vers le comte de Gand :

« Tu mis jadis à bas Maugiron le brigand. Le jour où tu naquis sur la plage marine, L’audace avec le souffle entra dans ta poitrine : Bavon, ta mère était de fort bonne maison ; Jamais on ne t’a fait choir que par trahison ; Ton âme après la chute était encor meilleure. Je me rappellerai jusqu’à ma dernière heure L’air joyeux qui parut dans ton œil hasardeux, Un jour que nous étions en marche seuls tous deux, Et que nous entendions dans les plaines voisines Le cliquetis confus des lances sarrasines. Le péril fut toujours de toi bien accueilli, Comte ; eh bien, prends Narbonne, et je t’en fais bailli.

— Sire, dit le Gantois, je voudrais être en Flandre. J’ai faim, mes gens ont faim ; nous venons d’entreprendre

Une guerre à travers un pays endiablé ; Nous y mangions, au lieu de farine de blé, Des rats et des souris, et, pour toutes ribotes, Nous avons dévoré beaucoup de vieilles bottes. Et puis votre soleil d’Espagne m’a hâlé Tellement, que je suis tout noir et tout brûlé ; Et, quand je reviendrai de ce ciel insalubre Dans ma ville de Gand avec ce front lugubre, Ma femme, qui déjà peut-être a quelque amant, Me prendra pour un maure et non pour un flamand ! J’ai hâte d’aller voir là-bas ce qui se passe. Quand vous me donneriez, pour prendre cette place, Tout l’or de Salomon et tout l’or de Pépin, Non ! je m’en vais en Flandre, où l’on mange du pain.

— Ces bons flamands, dit Charle, il faut que cela mange ! »

Il reprit :

« Ça, je suis stupide. Il est étrange Que je cherche un preneur de ville, ayant ici Mon vieil oiseau de proie, Eustache de Nancy. Eustache, à moi ! Tu vois, cette Narbonne est rude ; Elle a trente châteaux, trois fossés, et l’air prude ; À chaque porte un camp, et, pardieu ! j’oubliais, Là-bas, six grosses tours en pierre de liais.

Ces douves-là nous font parfois si grise mine Qu’il faut recommencer à l’heure où l’on termine, Et que, la ville prise, on échoue au donjon. Mais qu’importe ! es-tu pas le grand aigle ?

— Un pigeon, Un moineau, dit Eustache, un pinson dans la haie ! Roi, je me sauve au nid. Mes gens veulent leur paye ; Or, je n’ai pas le sou ; sur ce, pas un garçon Qui me fasse crédit d’un coup d’estramaçon ; Leurs yeux me donneront à peine une étincelle Par sequin qu’ils verront sortir de l’escarcelle. Tas de gueux ! Quant à moi, je suis très-ennuyé ; Mon vieux poing tout sanglant n’est jamais essuyé ; Je suis moulu. Car, sire, on s’échine à la guerre ; On arrive à haïr ce qu’on aimait naguère, Le danger qu’on voyait tout rose, on le voit noir ; On s’use, on se disloque, on finit par avoir La goutte aux reins, l’entorse aux pieds, aux mains l’ampoule, Si bien, qu’étant parti vautour, on revient poule. Je désire un bonnet de nuit. Foin du cimier ! J’ai tant de gloire, ô roi, que j’aspire au fumier. »

Le bon cheval du roi frappait du pied la terre Comme s’il comprenait ; sur le mont solitaire Les nuages passaient. Gérard de Roussillon Était à quelques pas avec son bataillon ;

Charlemagne en riant vint à lui.

« Vaillant homme, Vous êtes dur et fort comme un Romain de Rome ; Vous empoignez le pieu sans regarder aux clous ; Gentilhomme de bien, cette ville est à vous ! »

Gérard de Roussillon regarda d’un air sombre Son vieux gilet de fer rouillé, le petit nombre De ses soldats marchant tristement devant eux, Sa bannière trouée et son cheval boiteux.

« Tu rêves, dit le roi, comme un clerc en Sorbonne. Faut-il donc tant songer pour accepter Narbonne ?

— Roi, dit Gérard, merci, j’ai des terres ailleurs. »

Voilà comme parlaient tous ces fiers batailleurs Pendant que les torrents mugissaient sous les chênes.

L’empereur fit le tour de tous ses capitaines ; Il appela les plus hardis, les plus fougueux, Eudes, roi de Bourgogne, Albert de Périgueux,

Samo, que la légende aujourd’hui divinise, Garin, qui, se trouvant un beau jour à Venise, Emporta sur son dos le lion de Saint-Marc, Ernaut de Beauléande, Ogier de Danemark, Roger enfin, grande âme au péril toujours prête.

Ils refusèrent tous.

Alors, levant la tête, Se dressant tout debout sur ses grands étriers, Tirant sa large épée aux éclairs meurtriers, Avec un âpre accent plein de sourdes huées, Pâle, effrayant, pareil à l’aigle des nuées, Terrassant du regard son camp épouvanté, L’invincible empereur s’écria : « Lâcheté ! Ô comtes palatins tombés dans ces vallées, Ô géants qu’on voyait debout dans les mêlées, Devant qui Satan même aurait crié merci, Olivier et Roland, que n’êtes-vous ici ! Si vous étiez vivants, vous prendriez Narbonne, Paladins ! vous, du moins, votre épée était bonne, Votre cœur était haut, vous ne marchandiez pas ! Vous alliez en avant sans compter tous vos pas ! Ô compagnons couchés dans la tombe profonde, Si vous étiez vivants, nous prendrions le monde ! Grand Dieu ! que voulez-vous que je fasse à présent ? Mes yeux cherchent en vain un brave au cœur puissant, .

Et vont, tout effrayés de nos immenses tâches, De ceux-là qui sont morts à ceux-ci qui sont lâches ! Je ne sais point comment on porte des affronts ! Je les jette à mes pieds, je n’en veux pas ! — Barons, Vous qui m’avez suivi jusqu’à cette montagne, Normands, Lorrains, marquis des marches d’Allemagne, Poitevins, Bourguignons, gens du pays Pisan, Bretons, Picards, Flamands, Français, allez-vous-en ! Guerriers, allez-vous-en d’auprès de ma personne, Des camps où l’on entend mon noir clairon qui sonne, Rentrez dans vos logis, allez-vous-en chez vous, Allez-vous-en d’ici, car je vous chasse tous ! Je ne veux plus de vous ! Retournez chez vos femmes ! Allez vivre cachés, prudents, contents, infâmes ! C’est ainsi qu’on arrive à l’âge d’un aïeul. Pour moi, j’assiégerai Narbonne à moi tout seul. Je reste ici, rempli de joie et d’espérance ! Et, quand vous serez tous dans notre douce France, Ô vainqueurs des Saxons et des Aragonais ! Quand vous vous chaufferez les pieds à vos chenets, Tournant le dos aux jours de guerres et d’alarmes, Si l’on vous dit, songeant à tous vos grands faits d’armes Qui remplirent longtemps la terre de terreur : « Mais où donc avez-vous quitté votre empereur ? » Vous répondrez, baissant les yeux vers la muraille : « Nous nous sommes enfuis le jour d’une bataille, » Si vite et si tremblants et d’un pas si pressé » Que nous ne savons plus où nous l’avons laissé ! »

Ainsi Charles de France appelé Charlemagne, Exarque de Ravenne, empereur d’Allemagne, Parlait dans la montagne avec sa grande voix ; Et les pâtres lointains, épars au fond des bois, Croyaient en l’entendant que c’était le tonnerre.

Les barons consternés fixaient leurs yeux à terre. Soudain, comme chacun demeurait interdit, Un jeune homme bien fait sortit des rangs, et dit :

« Que monsieur saint Denis garde le roi de France ! »

L’empereur fut surpris de ce ton d’assurance.

Il regarda celui qui s’avançait, et vit, Comme le roi Saül lorsque apparut David, Une espèce d’enfant au teint rose, aux mains blanches, Que d’abord les soudards dont l’estoc bat les hanches Prirent pour une fille habillée en garçon, Doux, frêle, confiant, serein, sans écusson Et sans panache, ayant, sous ses habits de serge, L’air grave d’un gendarme et l’air froid d’une vierge.

« Toi, que veux-tu, dit Charle, et qu’est-ce qui t’émeut ?

— Je viens vous demander ce dont pas un ne veut : L’honneur d’être, ô mon roi, si Dieu ne m’abandonne, L’homme dont on dira : « C’est lui qui prit Narbonne. »

L’enfant parlait ainsi d’un air de loyauté, Regardant tout le monde avec simplicité.

Le Gantois, dont le front se relevait très vite, Se mit à rire et dit aux reîtres de sa suite : « Hé ! c’est Aymerillot, le petit compagnon !

— Aymerillot, reprit le roi, dis-nous ton nom.

— Aymery. Je suis pauvre autant qu’un pauvre moine ; J’ai vingt ans, je n’ai point de paille et point d’avoine, Je sais lire en latin, et je suis bachelier. Voilà tout, sire. Il plut au sort de m’oublier Lorsqu’il distribua les fiefs héréditaires. Deux liards couvriraient fort bien toutes mes terres, Mais tout le grand ciel bleu n’emplirait pas mon cœur. J’entrerai dans Narbonne et je serai vainqueur.

Après, je châtierai les railleurs, s’il en reste. »

Charles, plus rayonnant que l’archange céleste, S’écria :

« Tu seras, pour ce propos hautain, Aymery de Narbonne et comte palatin, Et l’on te parlera d’une façon civile. Va, fils ! »

Le lendemain Aymery prit la ville.

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One must admit that this wave of sushis restaurants that opened in the 2000’s was a great opportunity for catholic people: thanks to them, I could eat fish every Friday without even having to make any effort!

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Chers amis,

une fois n'est pas coutume, nous n’allons pas parler chiffons aujourd’hui. je vais vous parler de Saint Maximilien Kolbe. Maximilien était un prêtre franciscain polonais, né à la fin du XIXeme siècle et passionné par les médias et les nouvelles technologies. Il avait, pour le compte du Vatican développé de nouveaux organes de presse et notamment des radios partout dans le monde, afin de ne pas laisser les ondes aux ennemis de l'Eglise. En 1941, il est déporté par la Gestapo au camp d'Auschwitz. Alors qu'un homme de son baraquement avait tenté de s'enfuir, les kapos décident de sélectionner 10 hommes pour qu'ils soient condamnés à mourir de faim. Parmi ces derniers, un père de famille terrorisé à l'idée de ne plus revoir les siens. Le père Kolbe s'avance alors, et propose aux nazis de prendre la place de ce dernier. C'est accepté. Il verra mourir ses 9 compagnons d'infortune en les accompagnant par ses chants et ses prières, et mourra finalement fusillé deux semaines plus tard. Maximilien Kolbe a été canonisé en 1982, et reconnu martyr par Jean Paul II.

Ce sacrifice héroïque n'aura pas été vain, et aujourd'hui encore, il inspire des grands hommes; ceux qui dans les grands moments savent prendre de grandes décisions.

Puisse Sainte Geneviève de Paris, Sainte Patronne de la Gendarmerie et Saint Maximilien Kolbe accueillir auprès du Père le Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame.

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Like everyone else, Conrad didn’t like to be wrong. But what he really couldn’t stand was when in the same time, his wife was perfectly right. As she was explaining him, in a quite demonstrative way, he didn’t really NEED to buy this n-th navy club tie …

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After having spent a day long at his tailor’s shop, working hard to imagine how would be his next double breasted suit, Gerard decided to take some rest in the countryside. He really enjoyed long night walk and as the blue of the sky made him think of the fabric he chose and the grey of the mountains was the same as his buttons, he knew this time wasn’t spent in vain and that his suit will be great. With a feeling of achievement, he thought tenderly of the Almighty Creator, not exactly like a son think of his father, but this time more like an estimated fellow

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Such a pity! Gwendal has not been working that much his Neapolitan style, with this unstructured jacket, these loafers worn without socks, this stupendous necktie carelessly tied on his chambray shirt whose collar he inadvertently forgot to button , increasing without even meaning it, this famous “sprezzatura effect” lovers of the Italian style were so much looking for, to hear this stupid Valerie says that she loved his so called “British look”!!!!

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Jérôme loved his job as a designer. He was very well known for his ability to stay one step ahead of the fashion cycles. By example, for his next collection, olive green shall be a must have. He will be for sure a trendsetter. Maybe even an influential blogger, impressed by his amazing work, would call it the “Jérôme-green”… while remaining calm he couldn’t help but thinking about that. After all, why not? On the other hand, windowpanes were a total no go. So 2020….

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When Johnny Halliday died you fed me for three weeks with his best songs… I must admit that I really look forward to see you celebrating Paul Bocuse’s death

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Les Croquis Sartoriaux vous souhaitent une très belle année 2018.

Croquis Sartoriaux wish you a Happy New Year 2018

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