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LA PASSE-MIROIR

Finally arrived the third volume of La passe-miroir, a magnificent saga, like Harry potter. I remained, as always with this saga, amazed and satisfied. Reading simple and full of stunning scenes. Characters well characterized and fantastic and surreal settings. It’s gonna be really hard to wait another year for the next book

c'est magnifique

the fanart does not belong to me. Unfortunately I do not find the artist, if you are so kind to find her I will put her name as right that it is

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“Car je veux être reine de mes soleils et de mes peines, tenir les clefs des cités que je hante et garder enclose dans ma parole la fugitive vie que je m’émerveille d’entendre battre à mes tempes.”

— Mireille Sorgue

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“J'ai commencé à faire de moi-même un être littéraire, quelqu'un qui vit les choses comme si elles devaient être écrites un jour.”

Annie Ernaux, Mémoire de fille (via orendil)

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“L’échec n’est jamais la fin. C’est une étape inéluctable et nécessaire. L’espoir perdurera toujours pour ceux qui continueront à se battre.”

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artdelivre
“« Toi et moi, nous sommes deux solitudes qui se sont rencontrées dans le tourbillon de la vie. »”

— Morgane Ortin, Amours solitaires : Une petite éternité

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“Il peut y avoir un tel abîme entre la surface d'un homme et sa vie intérieure, et cela devrait nous apprendre quelque chose, cela devrait nous enseigner à ne pas trop nous fier aux apparences. Celui qui le fait passe à côté de l'essentiel.”

— J.K. Stefanason

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Les gens oublieront ce que vous avez dit, ils oublieront ce que vous avez fait, mais n'oublieront jamais ce que vous leur avez fait ressentir.

Maya Angelou

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“Peut-être distinguera-t-on à la fin de ce siècle deux classes d'hommes, les uns formés par la télévision, les autres par la lecture.”

— Ernst Jünger, Soixante-dix s'efface

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Tu apprendras

Après quelques temps, tu apprendras la différence entre tendre la main et secourir une âme.

Et tu apprendras que aimer ne signifie pas s’appuyer, et que compagnie ne signifie pas toujours sécurité.

Tu commenceras à apprendre que les baisers ne sont pas des contrats, ni des cadeaux, ni des promesses…

Tu commenceras à accepter tes échecs la tête haute, comme un adulte, et non avec la tristesse d’un enfant.

Et tu apprendras à construire aujourd’hui tes chemins, parce que le terrain de demain est incertain, et ne garantit pas la réalisation des projets, et le futur à l’habitude de ne pas tenir ses promesses.

Après un certain temps, tu apprendras que le soleil brûle si tu t’y exposes trop.

Tu accepteras le fait que même les meilleurs peuvent te blesser parfois, et que tu auras à leur pardonner.

Tu apprendras que parler peut alléger les douleurs de l’âme.

Tu apprendras qu’il faut beaucoup d’années pour bâtir la confiance, et à peine quelques secondes pour la détruire, et que, toi aussi, tu pourras faire des choses dont tu te repentiras le reste de ta vie.

Tu apprendras que les vraies amitiés continuent à grandir malgré la séparation. Et que ce qui compte, ce n’est pas ce que tu possèdes, mais qui compte dans ta vie…

Et que les bons amis sont la famille qu’il nous est permis de choisir.

Tu apprendras que nous n’avons pas à changer d’amis, si nous acceptons que nos amis changent et évoluent.

Tu expérimenteras que tu peux passer de bons moments avec ton meilleur ami en faisant n’importe quoi, ou rien, seulement pour le plaisir de jouir de sa compagnie.

Tu découvriras que souvent nous prenons à la légère les personnes qui nous importent le plus ;

et pour cela nous devons toujours dire à ces personnes que nous les aimons, car nous ne savons jamais si c’est la dernière fois que nous les voyons…

Tu apprendras que les circonstances, et l’ambiance qui nous entoure, ont une influence sur nous, mais que nous sommes les uniques responsables de ce que nous faisons.

Tu commenceras à comprendre que nous ne devons pas nous comparer aux autres, sauf si nous désirons les imiter pour nous améliorer.

Tu découvriras qu’il te faut beaucoup de temps pour être enfin la personne que tu désires être, et que le temps est court…

Tu apprendras que si tu ne contrôles pas tes actes, eux te contrôleront, et que être souple ne signifie pas être mou

ou ne pas avoir de personnalité : car peu importe combien délicate ou complexe soit une situation, il y a toujours deux manières de l’aborder

Tu apprendras que les héros sont des personnes qui ont fait ce qu’il était nécessaire de faire, en assumant les conséquences.

Tu apprendras que la patience requiert une longue pratique.

Tu découvriras que parfois, la personne dont tu crois qu’elle te piétineras si tu tombes, parfois est l’une des rares qui t’aideras à te relever.

Mûrir dépend davantage de ce que t’apprennent tes expériences que les années que tu as vécu.

Tu apprendras que tu tiens beaucoup plus de tes parents que tu veux bien le croire.

Tu apprendras qu’il ne faut jamais dire à un enfant que ses rêves sont des bêtises,

car peu de choses sont aussi humiliantes ; et ce serait une tragédie s’il te croyait, car cela lui enlèverait l’espérance !

Tu apprendras que, lorsque tu sens de la colère et de la rage en toi, tu en as le droit, mais cela ne te donne pas le droit d’être cruel.

Tu découvriras que, simplement parce que telle personne ne t’aime pas comme tu le désires, cela ne signifie pas qu’elle ne t’aime pas autant qu’elle en est capable :

car il y a des personnes qui nous aiment, mais qui ne savent pas comment nous le prouver…

Il ne suffit pas toujours d’être pardonné par les autres, parfois tu auras à apprendre à te pardonner à toi-même…

Tu apprendras que, avec la même sévérité que tu juges les autres, toi aussi tu seras jugé et, parfois, condamné…

Tu apprendras que peu importe que tu aies le cœur brisé, le monde ne s’arrête pas de tourner.

Tu apprendras que le temps ne peut revenir en arrière.

Tu dois cultiver ton propre jardin et décorer ton âme, au lieu d’attendre que les autres te portent des fleurs…

Alors, et seulement alors, tu sauras ce que réellement tu peux endurer ; que tu es fort, et que tu pourras aller bien plus loin que ce que tu le pensais quand tu t’imaginais ne plus pouvoir avancer !

C’est que réellement la vie n’a de valeur que si tu as la valeur de l’affronter !

Jorge Luis Borgès

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“Être, ou ne pas être, c’est là la question. Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir La fronde et les flèches de la fortune outrageante, Ou bien à s’armer contre une mer de douleurs Et à l’arrêter par une révolte ? Mourir… dormir, Rien de plus ; et dire que par ce sommeil nous mettons fin Aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles Qui sont le legs de la chair : c’est là une terminaison Qu’on doit souhaiter avec ferveur. Mourir… dormir, Dormir ! peut-être rêver ! Oui, là est l’embarras. Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort, Quand nous sommes débarrassés de l’étreinte de cette vie ? Voilà qui doit nous arrêter. C’est cette réflexion-là Qui nous vaut la calamité d’une si longue existence. Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations et les dédains du monde, L’injure de l’oppresseur, l’humiliation de la pauvreté, Les angoisses de l’amour méprisé, les lenteurs de la loi, L’insolence du pouvoir et les rebuffades Que le mérite résigné reçoit des créatures indignes, S’il pouvait en être quitte Avec un simple poinçon ? Qui voudrait porter ces fardeaux, Geindre et suer sous une vie accablante, Si la crainte de quelque chose après la mort, De cette région inexplorée, d’où Nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté, Et ne nous faisait supporter les maux que nous avons Par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ? Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ; Ainsi les couleurs natives de la résolution Blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ; Ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes Se détournent de leur cours, à cette idée, Et perdent le nom d’action.”

William Shakespeare, Hamlet

Original: To be, or not to be: that is the question: Whether ’tis nobler in the mind to suffer The slings and arrows of outrageous fortune, Or to take arms against a sea of troubles, And by opposing end them? To die: to sleep; No more; and, by a sleep to say we end The heart-ache and the thousand natural shocks That flesh is heir to, ’tis a consummation Devoutly to be wish’d. To die, to sleep; To sleep: perchance to dream: ay, there’s the rub; For in that sleep of death what dreams may come When we have shuffled off this mortal coil, Must give us pause. There’s the respect That makes calamity of so long life; For who would bear the whips and scorns of time, The oppressor’s wrong, the proud man’s contumely, The pangs of dispriz’d love, the law’s delay, The insolence of office, and the spurns That patient merit of the unworthy takes, When he himself might his quietus make With a bare bodkin? who would fardels bear, To grunt and sweat under a weary life, But that the dread of something after death, The undiscover’d country from whose bourn No traveller returns, puzzles the will, And makes us rather bear those ills we have Than fly to others that we know not of? Thus conscience does make cowards of us all; And thus the native hue of resolution Is sicklied o’er with the pale cast of thought, And enterprises of great pith and moment With this regard their currents turn awry, And lose the name of action.

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“Elle me semble, madame ? non, elle est ! Je ne connais pas les semblants. Ce n’est pas seulement ce manteau noir comme l’encre, bonne mère, Ni ce costume obligé d’un deuil solennel, Ni le souffle violent d’un soupir forcé, Ni le ruisseau débordant des yeux, Ni la mine abattue du visage, Ni toutes ces formes, tous ces modes, toutes ces apparences de la douleur, Qui peuvent révéler ce que j’éprouve. Ce sont là des semblants, Car ce sont des actions qu’un homme peut jouer ; Mais j’ai en moi ce qui ne peut se feindre. Tout le reste n’est que le harnais et le vêtement de la douleur.”

William Shakespeare, Hamlet (Acte I, scène 2)

Original: ‘Seems’, madam ? Nay, it is. I know not ‘seems’. ‘Tis not alone my inky cloak, good mother, Nor customary suits of solemn black, Nor windy suspiration of forc’d breath, No, nor the fruitful river in the eye, Nor the dejected haviour of the visage, Together with all forms, moods, shapes of grief, That can denote me truly. These indeed seem, For they are actions that a man might play ; But I have that within which passes show, These but the trappings and the suits of woe.

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“Doute que les astres soient de flammes ; Doute que le soleil tourne ; Doute que la vérité soit la vérité, Mais ne doute jamais de mon amour !”

William Shakespeare, Hamlet (Acte II, scène 2)

Original: Doubt thou the stars are fire, Doubt that the sun doth move, Doubt truth to be a liar, But never doubt I love.

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lupitovi
“Toi seule, toi seule est semblable à la racine des mots, les autres ne sont que des déclinaisons. Tu es le verbe qui donne vie à la phrase, les autres ne sont qu'articles ou prépositions.”

Denise Sadek-Khalil - Troisième cours sur le langage (via eclektika)

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tournevole
“Le siècle ne s’intéresse pas à la poésie, il faut aller vite, plus vite, le rap, le zap, faire défiler les images, les sensations, consommer, s’étourdir, la langue poétique ralentit, épaissit, creuse un trou noir dans l’époque pour que naisse à nouveau le temps : et chacun se bouche les oreilles”

— Dominique Sampiero

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