More you might like
Soyez réalistes : demandez l'impossible.
Che Guevara
La vérité
Brutale
Ta mort
Toi
Mon ami,mon pote
Fauché par les crabes
Noirs de ta maladie
Mouroir,virus
Préservé
A coups de préservatifs
Protège la planète
Et toi
NON
Si je pleure
Tes souffrances
Je revois
Notre Amitié
Le lettré
L'incongru
Jeans serrés
Les rades
Les bitures
Les meufs
Les nôtres
Gentilles copines
Janis Joplins
Chantait
Extasiée
Tu rêvais
Des fois
A un foyer
Avec mouflés
Morveux
Pres d'un sapin vert
Dans les bras
Ta gratte
Tes santiags
Un gitane papier mais
Rouge sang
Cul apaisé
Je pleure ton sourire
Embrumé de clopes
Tes dents déchaussées
Tu viens
La caisse est en bas
Klaxon Cadillac;
HOWL
Sur le toit de la cinquième
je défonce la gomme
Sur le sixty six
Allen est au bout
Bourré
Je t'aimais mon Ami
Faut pas crever
Comme ça
Je fais quoi maintenant
J'écris et j'aime mon pote. A Georges R.
Casse-toi.
Tout est fermé.
Serrures, cadenas,
Verrous, portes,
Ton cœur se paume.
Le mien s'est barré…
Hier.
Être de peu ou de rien
Avec une dame de bon aloi
Qui supputait ?
En vieux François
La ballade des pendus !
Encore eut-il fallu
Journée de la langue française
Oblige, que cette damoiselle.
De peu, cacochyme et valétudinaire ;
N'oublie pas son abécédaire.
Pour s'élever tel un dicérion
Comme Platon se promenant
Souvenirs au cœur
À l’entrée de la Drôme
Laissant une infortunée
S’accoudant mollement au cubiculaire
À demi couché et paumé,
Les serrures ouvrent les maux ;
Les cadenas aiment les mots.
N'est-il pas ?
Que vos reins soient ceints »
Évangile selon St-Luc, chapitre 12, 35-38
À jamais, dans ma vie;
Toujours dans tes yeux;
À jamais la souillure ;
Déjantée, imposture
Outrancière des mots
Au mâle terrifié
Par un amour-propre ;
À jamais, je te veux;
Au coin de l’âtre;
Baissant tes yeux;
Sur un chevalet
Muet de couleurs impures;
Et de puantes ordures;
Jetées en pâture;
À mes maux d'homme;
Fou, dès jamais, dès toujours;
Illuminé, imprégné de nous
Verte absolue, de tenir
Ta main dans la mienne;
Jusqu’au bout extatique;
Ou les semences se mêlent;
Et se démêlent comme des amants
À mourir que nous sommes, ma tendre
Et belle maîtresse, que j’embrasse;
Archet joyeux, le cœur en flèche.
Je suis saine de corps et absolument obscène dans mes pensées, mes paroles et mes actes .» Nabokov - (Lolita)
De la rousse à la brune, Que je caresse, délicate, Infortune, d'aimer une chaleur Souriante et fortunée, De courbes indélicates, Que je bus un matin, Café câlin, café chagrin, De la bonde à la rousse !