Jeff Buckley | Je N'en Connais Pas la fin /Hymne à L'amour, live at “The Bataclan”, Paris (February 11, 1995)
Quand après 2 concours et 5 années d'études en pharma, je vais faire biologie médicale dans la ville que je veux.
Mon chemin ici est donc terminé, il est temps pour moi de plier bagage. À bientôt !
De la magnificence des étincelles d'argent constellant cette nuit nouvelle, et de tes lèvres, douces comme des tulipes, qui me goûtent avidement.
C'est donc ceci, la beauté vraie. Ta présence dans mes pensées est comme le chant paisible de la mer. Je m'en délecte dès que s'impose à moi un moment d'égarement.
Mais ce n'est pas ce que je veux d'elle.
Je souhaite qu'elle attende de moi une servitude perverse.
J'ai imaginé ton ventre immortel pesant sur le lit du marin
Les caresses de l'aurore sur ta gorge fine
Je suis le corps noir et tu m'appartiens.
C’est toi que je désire dès l’aube,
Mon âme a soif de toi, ma chair languit après toi.
La lune est morte dans tes yeux clairs.
(Je l'ai écoutée longuement, ses cris soyeux s'évanouissaient sur ta couche.)
Mon désir pour elle
S'écrasa sur ma poitrine
Comme un orage.
La souffrance se nourrit de mon corps ; ses eaux calmes sont douces sous le voile de l'aube, et son murmure sombre s'infiltre dans mes yeux emprisonnés par le vide.
La brume hivernale me dérobait au monde des Hommes
Et embrassait ma chair comme une amante secrète
Mais seul le poison de ta voix ombragée m'abattit à terre
(C'est de la terre que j'hérite mon souffle.)
Je l'avais vu trop tard (l'aube bleuissait déjà ses draps) : cette femme n'était qu'esprit, elle faisait chanceler mon être sous sa main lourde, mais si pure.
Mais avant que les rayons ne peignent sa peau,
C'était la nuit, et nos mots se faisaient maîtres du ciel.
Je n'ai plus qu'une seule image de toi : celle de tes cheveux couleur des champs tombant en cascade sur ma poitrine, et de ton regard si léger en équilibre sur le mien.
Et de ces fantaisies sensuelles, il n'en reste que l'écume, qui pâlit déjà sur la mer du temps qui nous échappe.
Les plumes verdoyantes des bananiers s'étiraient vers le soleil, dont l'éclat brûlant de splendeur s'élevait paisiblement vers le sommet du jour.
La terre, et les cendres, et les chrysanthèmes vermeils
Hurlent d'agonie dans mes mains crevassées.
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Quand : “Ah mais en fait votre externat vous êtes dans les mêmes services que les médecines ? Ça a rien à voir avec pharma du coup”
« Pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font. » – Luc 23:24