“I just want to be the person you miss at 3am.”
— Beau Taplin - Firstly, let me be the absence in your chest, secondly, let me be the one who fills it.
“I just want to be the person you miss at 3am.”
— Beau Taplin - Firstly, let me be the absence in your chest, secondly, let me be the one who fills it.
take me back to the night we met
T'es la fille banale qui cause des problèmes à tout le monde
T'es cette tempête si calme qui saccage tout.
T'es un rien qui fait tout.
“Je t'ai cherchée partout, même ailleurs. Je t'ai trouvée, où que tu sois, je m'endors dans tes regards. Ta chair était ma chair. De nos moitiés, nous avions inventé des promesses ; ensemble nous étions nos demains. Je sais désormais que les rêves les plus fous s'écrivent à l'encre du coeur. J'ai vécu là où les souvenirs se forment à deux, à l'abri des regards, dans le secret d'une seule confidence où tu règnes encore... Même sans toi, je ne serai plus jamais seul, puisque tu existes quelque part”.
— Marc Lévy
“I never cared for someone like I care for you.”
— Day 116
Je l'aimais. Je l'aimais comme on aime quand l'air est doux, quand le soleil brille paisiblement, quand le ciel est bleu et dénué de tous nuages. Je l'aimais avec douceur et tendresse. Avec pureté et légèreté. C'était honnête, c'était sincère. J'aimais l'aimer, je chérissais mon cœur en côtoyant le sien. C'était tellement vrai qu'au fond, je ne le savais même pas. Cette âme si tendre et si belle me semblait tenir de l'irréel, de venir d'un autre monde, ou alors d'un de mes rêves. Mais le jour où j’ai compris que je l’aimais avec une fulgurance sans nom, avec une puissance innommable, ce fut le jour de son départ. Ce fut le fameux jour où j'ai réalisé que cette âme-ci était cruellement belle, cruellement réelle.
“Je ne crois pas que tu ailles mieux aujourd'hui, ni mieux qu'hier ni mieux que moi. Nos propres blessures ne diminuent pas quand on a l'obsession de les partager avec ceux qui les ont causées. Celui qui fait payer aux autres se retrouve toujours plus malheureux après.”
— Danier Glattaueur, La septième vague
“Je dis souvent que je n'attends plus rien, mais au fond, j'espère tout…”
— V. H. SCORP
“When she is happy, she can’t stop talking, when she is sad she doesn’t say a word.”
— Ann Brashares
ils partent tous à un moment
Elle se souvenait de la sensation qu'elle lui procurait. Une chaleur immense qui lui parcourait tout son corps. Ses muscles se décontractaient en sa présence. Un apaisement quasi total. Et puis son odeur qui restait plusieurs heures collé à elle entre ses mains, ses lèvres, son visage.
Un amour si puissant qui prenait le temps d'éclore et de rester coller à son coeur. Au fur et à mesure cet amour ne pouvait disparaître et devenait de plus en plus envahissant. Et pourtant c'était plus puissant que tout.
Elle pensait pourtant être capable de se séparer d'elle. L'erreur était la. Il était trop tard et cet amour devint alors complètement toxique.
Son coeur commençait à faner. Son cerveau se noya dans toute ses pensées. Ses muscles ne se décontractaient plus. Son odeur devenait de plus en plus insuportable. Elle ne pouvait plus supporter de la voir partir. L'amour se transformait en obsession.
Quand le plaisir mène à la destruction.
Je vis tout en trop... Trop d’émotions, trop de rires, trop de larmes, trop de sourires, trop de remises en question. C’est un trop plein pour moi, j’en peux plus. Je vis à 200% chacune de mes émotions, ça m’épuise d’être si facilement vulnérable. Toutes mes blessures sont à découvert....
Ma belle, tu peux pas pleurer tout le temps. Sers les dents.