"Je veux vivre ma vie tant que j'y suis."

A girl kissing the posters of David Bowie in Madrid, 1987.

Un photographe documente les endroits où dorment les enfants des réfugiés syriens Avec son projet "Where The Children Sleep", le célèbre photographe suédois Magnus Wennman a décidé de documenter les endroits où dorment les enfants des réfugiés syriens, afin de sensibiliser les gens sur les conditions dramatiques auxquelles sont soumises les familles de réfugiés qui ont fui les horreurs de la guerre. Des photographies bouleversantes qui cherchent à redonner un visage humain aux réfugiés et à leurs enfants, mais surtout à faire comprendre une fois pour toute la gravité de la situation de ces familles qui ont tout abandonné pour leur survie. Une série a mettre en parallèle avec le projet similaire du photographe James Mollison, intitulé lui aussi Where Children Sleep.

Shehd, 7 ans Ralia, 7 ans et Rahaf, 13 ans Ahmed, 6 ans Ahmad, 7 ans Lamar, 5 ans Walaa, 5 ans Abdullah, 5 ans Fara, 2 ans Juliana, 2 ans Shiraz, 9 ans Amir, 20 mois Moyad, 5 ans Maram, 8 ans

Images © Magnus Wennmansource

SUPERBES PORTRAITS DE PERSONNES SANS-ABRIS PAR LEE JEFFRIES

Lee Jeffries est un photographe anglais résidant à Manchester. Ce comptable de profession se lance dans la photographie et commence à shooter des personnes sans-abris rencontrées au fil de ses voyages en Amérique du nord et en Europe. Dans sa démarche artistique, il prend le temps de connaitre les personnes avant de les photographier. Ses magnifiques clichés expriment ainsi les émotions des sujets photographiés de façon stupéfiante.

Buddhist monk blowing a bubble gum

Perfectly Chic Cate Blanchett

Le moment décisif Brassaï, le photographe de la nuit … http://blogs.deia.com/momentodecisivo/2011/07/08/brassai-el-fotografo-de-la-noche/ “Il y a moins d'une semaine, nous parlions d'un photographe hongrois, comme beaucoup d'autres photographes de la première moitié du XXe siècle, qui profitait de la grande activité photographique parisienne pour se déplacer et vivre un moment dans la  capitale française.  André, à Paris, a rencontré un autre photographe hongrois qu'il a contribué à former dans l'art photographique.  Cet homme n'était autre que Brassaï. Né dans une région (Brassó) qui appartient actuellement à la Roumanie, Gyula Hásalz, de son vrai nom, était un élève exceptionnel d'André et, contrairement à celui qui a émigré à Paris avec plus de vingt ans, Brassaï est arrivé en France avec seulement trois ans.  Si pour une raison quelconque, Brassaï se distinguait par ses photographies dans les cafés parisiens et par ses promenades dans la rue à la recherche de photographies, surtout la nuit,   il collabore depuis de nombreuses années avec le magazine Harper’s Bazaar.  En 1962, après la mort de l'éditeur de ce prestigieux magazine et malheureusement pour l'histoire de la photographie, Brassaï abandonne pour toujours la séance photo, se consacrer à sa mort un jour comme aujourd'hui fait plus d'un quart de siècle, 8 Juillet 1984, à la réimpression de son travail.

Photos de Brassaï

Barbara Stanwyck & Robert Ryan in Clash by Night (Fritz Lang, 1952)

John Wayne in The Man Who Shot Liberty Valance (John Ford, 1962)

Natalie Wood with Adolph Zukor on the set of This Property Is Condemned, 1966.

RAYMOND CAUCHETIER Out of breath, Paris, France, 1959 gelatin silver prints

Pedro Covo

Sans les images de CNN, tout le monde serait resté silencieux face à ces rumeurs qui n’en sont plus. L’esclavage des migrants a bien lieu en Libye. Comme si la tragédie de leur vie n’était pas suffisante, voilà qu’ils peuvent se faire acheter une poignée de dollars. Il fut un temps où pour payer la traversée : les hommes devaient y laisser un organe – rein de préférence ; et les femmes servir « temporairement » d’esclave sexuel. Ce n’est plus suffisant visiblement. C’est aussi que le gouvernement libyen est payé par l’UE pour tarir le flux de réfugiés. Rien de mieux donc, que de recevoir des millions d’euros pour ne plus les laisser passer ; et de l’autre côté, se servir de cette main d’œuvre asservie pour reconstruire un pays dévasté par les bombes de Sarkozy et l’OTAN (et la guerre intestine des tribus qui fit suite à la mort de Kadhafi). N’écoutez pas les dirigeants occidentaux qui feindront de s’indigner de cet esclavage, alors qu’ils en sont indirectement responsables. N’écoutez pas les dirigeants africains qui feindront également de s’en indigner alors que la gestion désastreuse de leurs pays et la corruption qui y règne, a favorisé le départ de ces gens de l’autre côté de la méditerranée. Puisse ces hommes recouvrer leur dignité et leur liberté.

(Reportage de CNN : https://youtu.be/2S2qtGisT34)